Sujet: Crazy in love (+) Andréa Mar 21 Avr - 21:57
CRAZY IN LOVE
SAUL R. PHOENIX & ANDREA FITZGERALD
> Whispers. Δ ✻✻✻ Je pensais qu'il n'y avait pas pire endroit qu'Hollywood. Je pensais que c'était la société qui nous corrompait, qui faisait naître des monstres tels que les parents Phoenix. Qui poussaient à la consommation, au culte de la personnalité, à l'auto-suffisance. Je pensais que notre société nous l'avions corrompu, et que désormais, elle nous corrompait. Mais j'avais tort. L'homme était tout simplement mauvais, et il devenait de plus en plus difficile d'être bon que d'être mauvais. Je levais mes mains, regardais mes longs doigts blancs et soupirais. Ces mains blanches étaient réputées pour être salies d'un sang rouge vif, celui de mes propres parents. J'avais vécu tant d'horreur, j'avais vécu l'enfer, et personne ne le savait. Être ici, était pour moi bien plus supportable que ce que j'avais pu vivre auparavant. Malheureusement, je savais que mon avis changerait. Je savais que le supportable me tuerait. Toute mon enfance, toute mon adolescence, j'avais accepté d'être l'ombre de moi-même. D'être humiliée. Mal traitée. Mal aimée. J'avais accepté tant de choses. Et désormais, je continuais d'accepter d'être celle dont on ne veut pas tel quel. Celle qui devait sourire, hocher la tête et se retourner, en abandonnant ses rêves, ses souhaits, ses désirs. J'étais ainsi, soumise à la vie, attendant la mort, avec patience, le sourire aux lèvres. Je soupirais et froissais ma feuille de papier. J'étais née sans don. Je ne savais pas écrire, jouer de la musique, ou dessiner. Je n'étais pas bonne en sport. Je n'étais qu'une grande blonde aux formes généreuses, à l'apparence superficielle pour cacher tant de douleur. Une voix masculine, un débit de parole difficile à suivre. Et c'est ainsi qu'on me définissait. Je me levais, et me regardais dans le miroir. Alors que des gens ne voyaient en moi qu'un air prétentieux et hautain, je voyais, sur ce visage, de la douleur, de la tristesse, un véritable mal être. Un mal être que personne ne pouvait percevoir.
Si. J'avais un don.
J'étais née bonne actrice. Un sourire se dessina sur mon visage. Je fermai les yeux et reculais. J'en avais assez d'admirer ce masque, ce masque que j'exposais aux yeux de tous sans m'en rendre compte. Comment Théo pouvait-il se rendre compte de l'amour que je lui portais si j'étais incapable de paraître sincère? Je portais sur moi cet air de salope assumée, une image qui n'est pas moi, qui ne me correspond pas malgré tout. J'avais fais des erreurs, certes. J'avais couché avec Alistair, je continuais de coucher avec Théo, et devenais de plus en plus horrible avec Ange, Ange qui se rapprochait doucement de Théo. J'attendais que le moment arrive. J'attendais que le malheur me frappe. J'attendais que la mort se décide à me prendre. Car morte, je n'avais plus aucun intérêt pour Théo. Je n'avais plus cette chaleur qui nous différencie des fantômes. Mes mains tremblèrent, je fis tomber un objet en reculant. Je ne pris pas la peine de regarder duquel il s'agissait. Il fallait que je sorte. Je passais dans le salon, passais devant mes colocataires, jetais un rapide coup d'œil à Théo et claquais la porte derrière moi. Essoufflée, le cœur battant à tout rompre, je me mis à marcher, tête basse. J'avançais, regardant le sol se dérober sous moi. Mes yeux s'embuèrent de larmes. C'était insupportable, cette sensation d'être faible. Elle ne voulait me quitter.
Un Choc. Silencieux, inattendu.
Je me frottais la tête et levais les yeux. Une femme, coiffée d'un iroquois noir, habillée de noir, percée et maquillée se trouvait là. Andy. Je souriais timidement, et réajustais mes vêtements. A vrai dire, je ne m'attendais pas à la voir.
Sujet: Re: Crazy in love (+) Andréa Sam 6 Juin - 22:05
Crazy In Love
Andy&Saul
Beaucoup de gens porte des masques, Andréa porte le masque de la fille souriante et timide chez qui tout va bien, alors qu'elle n'à qu'une envie c'est de se jeter du haut de ce foutue hotel ! De stopper les frais de cet enfer narquois ! Hadès jouait les désinvoltes, faisait comme si tout allait bien dans son petit monde d'or et d'alcool, mais tout le monde sait que lorsqu'on se noit dans la boisson c'est que tout ne va pas bien, andy voyait sur le visage de Saul, sa jolie blonde quelques fissure à se masque poudré de fond de teint que la jeune femme s'évertue à vendre au monde. Andy elle porte un masque face à Saul oui, mais seulement pour l'attirer dans ses filets, car sinon elle ne se fourvoies pas sur sa nature et ses sentiments, c'est une bête sanguinaire et rien ne changera jamais ça ! La psychopathe était tranquillement dans sa planque, malmenant un sucre d'orge entre ses dents, pensive, elle ne savait que faire pour combler cet ennuie qui l'a tiraillé. Trouver un nouveau jouet ? Hm, aps envie. Trouver Alo et choisir de quel façon ils vont se tuer aujourd'hui ? non ... elle à pas trop envie de voir cette petite tête blonde qui perd la boule ... Elle avait envie de changement, de se sortir de cette routine de sang et de folie ... Un instant elle envia Andréa et sa facilité à s'émerveiller d'un rien et à s'occuper ...
Elle décide de quitter son antre et de vagabonder au grés des couloirs, elle trouvera bien une occupation à un moment ou un autre. Elle songe un instant à aller taquiner sa chère grand mère ... hm non ... mauvaise idée, elle à beau être sa chouchoute la dernière fois qu'elle à fait ça elle l'a regretté ... Mieux vaux attendre que Mary vienne à elle c'est plus prudent pour son jolie derrière ! Qui pourrait elle donc aller voir donc ? Elle pensait à la jolie blonde tout à l'heure ... Et pourquoi pas ? Saul ignorait tout de ses tendances psychopathes et sanguinaires, avec elle andy n'est qu'une fille un peu perchée qui la drague. Bon allez c'est partie pour aller reluquer le jolie popotin de la starlette ! Ca lui changera les idée ça ! Elle prend donc la direction de la chambre ou réside saul, mais la voilà percuté de plein fouet, elle en avale d'un coup le reste de sucre d'orge qu'elle avait dans la bouge et manque de s'étouffer. Qui que se soit elle va le tuer ... Du moins c'est se qu'elle pensait mais ses yeux se pose sur l'objet de ses convoitises, la jolie blonde les yeux larmoyants, le mascara lui teintant ses joues de jolies trainées noires et floues ... Si elle avait été un homme ça aurait surement fait "plop" dans son slip à se spectacle plus que jouissif pour son esprit dérangé ... C'est comme si elle avait devant elle une icone gothique, avec les cheveux noirs effilé devant la gueule et les roses rouges sangs en moins bien sur.
"Eh bah alors jolie coeur ? Qu'est qui t'arrive pour que ton visage d'ange soit noircit comme le charbon ?"
Elle lui sourit en coin, tirant son piercing scintillant dans le geste, elle porte son pouce à ses lèvres, passant le bout de sa langue également percée sur sa peau, humidifiant son doigt avant de s'approcher de la petit étoile déchu set de frotter une de ses joues pour éliminer cette trainer noir qui barrait son jolie minois de poupée en porcelaine.
"l'bal de pâque est passé t'sais. Ah moins qu'il y ai un nouveau une fête costumé et qu'on ne m'ait rien dit !" dit elle faussement offusqué." si c'est le cas je peux être ton cavalier si on t'as pas déjà mis le grappin dessus !"
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Sujet: Crazy in love (+) Andréa 
Mar 21 Avr - 21:57
> Whispers. Δ ✻✻✻ Je pensais qu'il n'y avait pas pire endroit qu'Hollywood. Je pensais que c'était la société qui nous corrompait, qui faisait naître des monstres tels que les parents Phoenix. Qui poussaient à la consommation, au culte de la personnalité, à l'auto-suffisance. Je pensais que notre société nous l'avions corrompu, et que désormais, elle nous corrompait. Mais j'avais tort. L'homme était tout simplement mauvais, et il devenait de plus en plus difficile d'être bon que d'être mauvais. Je levais mes mains, regardais mes longs doigts blancs et soupirais. Ces mains blanches étaient réputées pour être salies d'un sang rouge vif, celui de mes propres parents. J'avais vécu tant d'horreur, j'avais vécu l'enfer, et personne ne le savait. Être ici, était pour moi bien plus supportable que ce que j'avais pu vivre auparavant. Malheureusement, je savais que mon avis changerait. Je savais que le supportable me tuerait. Toute mon enfance, toute mon adolescence, j'avais accepté d'être l'ombre de moi-même.
