Fuck me like I paid you for it. † Hadès Fitzgerald
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Sujet: Fuck me like I paid you for it. † Hadès Fitzgerald Lun 23 Fév - 18:41
Hadès Fitzgerald
MORT - ORGUEIL - FT. ALEXANDER SKARSGARD
Carte d'identité:
NOM :
Fitzgerald.
PRENOMS :
Hadès.
DATE DE NAISSANCE :
Treize novembre 1888.
AGE :
37 ans, mais en réalité 126.
GROUPE :
Orgueil.
MORT OU VIVANT :
Mort, et ce depuis 89 ans déjà.
A L'HOTEL DEPUIS :
124 ans.
JOB(facultatif) :
Client fidèle au bar.
PARTICULARITE :
Aucune.
COMMENT ÊTES VOUS ARRIVE A L'HÔTEL? :
C'est un Fitzgerald.
CLASSE SOCIALE :
Riche.
VOTRE RELATION A LA MORT :
Une éternité de jeunesse sans jamais plus compter ni les heures ni les rides.
ANCIEN LIEU D'HABITATION:
Londres.
STATUT FAMILIAL:
Marié, malheureusement. Père de trois filles qui l'encombrent royalement.
Anecdotes et faits divers:
Il s'est pris d'affection pour la littérature très jeune, en particulier Poe et Baudelaire. † En découvrant les écrits de Baudelaire, il a décidé d'apprendre le français. † De tous les alcools qu'il aime, c'est le Writer's Tears Whiskey qu'il préfère. † Il a un tatouage en forme de croix retournée sur une omoplate. † Il a un type de femme très précis. † Il ne supporte pas qu'on lui dise non. † Il avait des penchants nécrophiles avant de mourir. † Il a toujours un vieux rasoir en argent sur lui. † Il aime lacérer les femmes. † Il déteste les chats. † Il déteste son frère. † Il déteste ses filles. † Il déteste sa femme. † Il ne divorcerait pour rien au monde et adore la faire souffrir plus que n'importe qui. † Il a peur de vieillir, même si c'est désormais impossible.
Caractère :
Egocentrique • Egoïste • Intelligent • Manipulateur • Infidèle • Calculateur • Homme à femmes • Morbide • Alcoolique • Cynique • Malhonnête • Irresponsable • Coeur de pierre • Capricieux • Colérique • Violent • Jaloux • Incestueux.
Egocentrique?.... Peut être. Mais quel mal y a-t-il à cela? Je le mérite. Je suis un Fitzgerald après tout et même sans ce nom je pense très largement mérité les égards que l'on m'accorde. Je ne vois pas pourquoi je m'intéressais à la vie des autres, la mienne est nettement plus palpitante. Égoïste, moi? Mais je fais ce que tout le monde fait: je me mêle de ce qui me regarde. Mes affaires n'appartiennent qu'à moi et j'ai toujours trouvé impoli ces gens qui se mêlent de vos soucis qu'ils soient graves ou minimes. Des fouines, voilà ce qu'ils sont. Intelligent, évidemment. Que serait un homme sans ce qui anime sa pensée. Je ne saurais me résoudre à penser systématiquement à de sordides histoires de bar ou à des problèmes de parents. J'ai tellement mieux pour occuper ma pensée et tellement plus de curiosité pour des sujets plus prestigieux. Manipulateur... Ah... Le fameux... Si être plus futé que son prochain ne vous sert à rien, à quoi bon se fatiguer à faire mieux? Quand on a du talent on se doit d'en profiter. Les autres ne sont que de misérables petits pantins que je me plais à faire danser. Certes, on appelle ça de la manipulation mais je préfère considéré, comme beaucoup de choses me concernant, que c'est simplement de l'intelligence... Infidèle... Combien de fois Emily me l'a-t-elle reproché... Elle devrait déjà s'estimer heureuse que notre mariage perdure et que je ne la laisse pas mourir avec ses mioches. Je ne résiste pas à la tentation, je suis pratiquement une victime dans cette histoire mais bien sûr mon épouse adorée ne saurait voir dans ce trait de ma personnalité que le mal. Alors oui, traitez moi d'infidèles si vous le souhaitez, mais moi au moins je suis marié et je le reste. Calculateur, ou une belle appellation qu'ont les jaloux pour qualifier ma supériorité face à eux. Vous avez déjà joué aux échecs? Cela requiert toujours au moins un coup d'avances. Moi j'en ai cinq en réserve à chaque fois. Je préfère penser que je suis juste malin mais oui... D'autres misérables idiots trouvent ça mesquin. Homme à femmes, je ne peux que plaider coupable. Elles auraient été ma perte un jour ou l'autre, je n'étais pas sans le savoir. Malgré tout, je ne me vois pas vivre sans la charmante compagnie de ces minois. Il me suffit d'un regard posé sur elle pour savoir qu'elles perdent leur petite culotte rien qu'en me regardant. Je serais un monstre si je ne leur donnais pas un peu de ce qu'elles attendent toutes de moi. Morbide? Allons bon! Sous prétexte qu'on s'intéresse à la mort et la torture, on dit de vous que vous êtes malsain ou dérangé. Et bien, je ne m'en cache plus. Oui, j'ai des goûts qui transcendent peut être votre normalité agaçante mais quelle poésie trouvez-vous dans la vie? Elle n'a rien de beau. La mort, elle, est nettement plus attrayante à mes yeux. Le beau est toujours bizarre, à dit un jour un grand homme... Je n'irais pas jusqu'à me prétendre alcoolique mais les bêtises d'Emily m'ont peu à peu forcé à noyer mes problèmes dans des verres toujours plus nombreux. Une chance pour moi, je tiens bien l'alcool. Et comme tout le monde, je donnerais tout pour un verre de vieux whisky... Il faut que j'aille au bar. Cynique, c'est ce que la norme trouve immoral. Je ne vais décemment pas me priver de dire ce que je pense par simple risque de choquer des simples d'esprit. Moi je trouve à plaisanter dans une vaste palette de sujets, ce n'est pas votre cas et ce n'est regrettable que pour vous. Mais où va le monde si je suis un être malhonnête? Je ne prends que ce qui me revient de droit. Je n'ai jamais arnaqué personne, ce sont eux et leur crédulité qui s'endettent seuls. Si les autres n'éteint pas si naïfs, je ne serais pas perçu comme un menteur et un profiteur. Mais de vous à moi, c'est de plus en plus facile de profiter de ces crétins... Irresponsable, mais pas du tout! Je suis un Fitzgerald, j'ai mieux à faire que de m'occuper de ce que d'autres peuvent faire pour moi. Mes propres devoirs m'occupent à merveille si vous voulez tout savoir. Je suis adulte et je sais ce que je fais à chacun de mes gestes. Cœur de pierre, j'entends encore Emily me répéter de tels propos. Et... C'est vrai, en quelque sorte. Si je dois avoir une faiblesse, c'est mon manque d'empathie et de sentiments envers les autres mais sincèrement, est-ce seulement un défaut? J'apporte à ma femme tout ce dont elle à besoin à part de l'amour mais je l'ai suffisamment feint avant notre mariage pour qu'elle en profite. La pauvre doit encore en rêver la nuit. Mes filles ont tout ce qu'elles veulent et je suis certain qu'elles sont nettement plus heureuses en étant des Fitzgerald sans père aimant que de pauvres mendiantes avec Jésus Christ pour père. Dieu vous aime, putain quelle connerie... Capricieux, ça ne pourrait mieux me décrire. J'ai gardé cette enfantine facette de ma personnalité et pour cette raison j'exige toujours le meilleur. Si cela fait de moi un homme capricieux, grand bien vous fasse. Moi je pense que je ne demande que le minimum et si je paye, il est d'autant plus normal que j'en ai pour mon argent. Et c'est comme ça pour tout. Je ne vois pas pourquoi on me dirait non alors que je prends tous les égards du monde pour demander. Je pourrais voler les gens, me servir d'eux, les utiliser à ma guise, mais je préfère réclamer jusqu'à avoir gain de cause. Et bien sûr, prendre des mesures adéquates si ce n'est pas le cas... Colérique, vous vous foutez de moi? Je suis d'un calme olympien. Vous m'avez déjà vu m'emporter sans raison? Non. C'est normal, je ne le fais pas. Si on m'agace c'est qu'on m'a cherché. Et j'aime autant vous dire que vous ne voudriez pas que ça arrive. La seule à m'énerver fréquemment c'est Emily mais que voulez-vous que je vous dise? Elle a fait trois sales gosses! C'est elle qui essaye de me rendre fou avec son caractère de merde! Moi je ne fais rien de mal! Violent? Ça jamais. Je me trouve même étonnamment calme face aux idiots que je côtoies tous les jours. J'ai laissé quelques bleus à Emily et à d'autres mais ils l'avaient bien mérité. En plus je suis certain qu'Emily me pardonne à chaque fois dans son immense bonté d'âme. Elle devrait même me remercier de ne pas la battre tous les soirs et de lui avoir montré qu'un peu d'animation au lit, c'est loin d'être désagréable. En tout cas, pour moi... Jaloux, quel mal y a-t-il à cela? Tout le monde envie certaines choses qu'ont les autres. La différence c'est que moi quand je veux, je prends. Et je guéris donc ma jalousie tout seul. Et en ce qui concerne Emily, c'est ma femme. Mon jouet. Il est normal que je fasse la peau à quiconque la touche. Même morte. Incestueux... Encore cette sale gosse et ses problèmes qui me retombent dessus. J'aurais du la tuer quand elle était encore dans son berceau...
A propos de moi:
Bien... Alors... Voilà... En générale je signe Boogey sur mes RPs donc vous pouvez m'appeler comme ça. Sinon pas grand chose à dire... Je fais du RP depuis plusieurs années déjà et souvent avec des persos égoïstes, froids, et torturés. Je dessine aussi. Et j'aime bien Batman et les slashers des années 80-90. Et Korn.
Dernière édition par Hadès Fitzgerald le Mar 24 Fév - 10:40, édité 1 fois
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Sujet: Re: Fuck me like I paid you for it. † Hadès Fitzgerald Lun 23 Fév - 18:42
Hellfire
This fire in my skin. This burning desire is turning me to sin.
Hadès. Il faut croire que ce prénom m'était destiné. J'aurais du savoir que si ma chère génitrice m'avait appelé ainsi c'était pour me voir finir avec les restes décharnés de toute notre famille.
Tout avait pourtant si bien démarré...
J'avais un cadre de vie délicieux je dois dire. Famille fortunée, ainé de ma fratrie, de prestigieuses études... Tout ce que je souhaitais était là, à mes pieds. Exactement là où tout devrait être. J'étais certain de mériter tout ce que j'avais et bien plus encore. Après tout j'étais Hadès Fitzgerald, ce nom seul suffisait à mettre tout le monde à genoux, prêts à me servir comme les braves petits rats d'égout qu'ils étaient tous. Le monde entier regorgeaient d'esclaves que je pouvais mettre à mes ordres comme bon me semblait. De la chair fraîche comme j'aimais. Des cadeaux du ciel. Et tout ça, je le devais à un nom de famille glorieux.
J'étais un dieu.
On m'a éduqué comme tel, on me traitait comme si j'étais un prodige, un prince devrais-je dire. Et j'estimais naturellement que tout cela m'était dû. Seule ombre au tableau? Mon cher petit frère, le fils de trop qui gâchait mon utopique vie. C'était cependant un ami précieux et sans doute le seul autre être au monde à comprendre à quel point il était difficile de supporter notre train de vie. Car derrière la douceur et le luxe se cachait les grands desseins que l'on espérait nous voir suivre. Un Fitzgerald ne peut décemment pas s'abaisser à un travail de misère, on ne saurait supporter de voir quelqu'un de mon rang travailler pour les autres. J'ai échappé longtemps à l'idée de devoir un jour vivre au rythme des autres et de leur existence misérable face à la mienne. Je me souviens pourtant avoir toujours eu tout ce que je souhaitais, les études n'étaient pas un problème, et je n'étais là que pour faire bonne figure. Même sans la moindre éducation, je valais mieux que tous ces fous. J'ai pourtant fait mon choix, exerçant mes talents dans une branche littéraire. Je me rappelle encore de ces livres que l'on disait désastreux et indécents. Ah, comme le monde aurait regretté ces violents discours à l'encontre d'un poète et de ses idées trop novatrices pour son époque. Mais malgré une imposante bâtisse, la bibliothèque me semblait toujours trop vide. Aussi, j'ai passé des heures incalculables à fouiller des librairies et des antiquaires pour trouver de fascinants textes sur les bordels, l'absinthe, et Justine.
Je donnerais tout pour une Perséphone de ce genre...
Au delà de Baudelaire et Poe, j'avais trouvé chez Sade une révolution charnelle. Mais malgré mon addiction des mots, je passais mes plus belles nuits ailleurs que dans mes livres. J'avais une toute autre drogue pour me tenir éveillé chaque soir: les femmes, jamais je ne m'en lasserais. Frêles et innocentes, c'est là la perfection de ce petit jeu. Car si j'avais appris une chose en lisant, c'était que les Juliette sont sages et dévergondées, mais les Justine sont divinement plus amusantes à côtoyer. Je les hais d'une force telle que je pourrais les voir souffrir tous les jours sans interruption sans jamais m'en lasser. Je déteste ces miséreuses petites fleurs trop bien pour des draps faussement propres. Et je méprise par dessus tout ce petit air hautain de victime lorsqu'elle se sentent outrées par de trop hâtives propositions. Par dessus tout le reste, j'avais une abjection monstrueuse pour le refus. Je n'ai jamais supporté qu'on me dise non pour quoi que ce soit. Si j'exige, j'obtiens. Et j'exige toujours la perfection. Même si celle ci appartient à un autre, je l'aurais. J'obtiens toujours ce que je veux.
Mais je ne la voulais pas elle.
Elle et son minois qui incarnait à lui seul la gentillesse et la bienveillance. Si j'avais du trouver mon parfait opposé, il aurait été dans ses yeux. Je me souviens encore de la lueur de bonté qu'elle avait dans le regard lorsque je l'ai connu et de la sonorité de sa voix quand elle s'est présentée sous le charmant nom d'Emily. Elle me regardait comme si j'étais son sauveur. Elle me prenait pour un héros alors que je condamnais ces derniers à une éternité de l'autre côté du Styx. J'aurais du me douter qu'elle n'écouterait pas mon nom et n'entendrait que son cœur. Mais soit. Un jouet reste un jouet... Je n'avais pas eu de mal à l'avoir pour moi seul et je pouvais en faire ce que bon me semblait. Malheureusement pour elle, ce que je voulais c'était toutes les autres, toutes celles qu'elle n'était pas. Mais je ne supportais pas l'idée de la laisser s'échapper. J'ignore encore pourquoi... Je trouvais sans doute sa silhouette plus harmonieuse à côté de la mienne, peut être que j'aimais sa façon qu'elle avait de me regarder comme une œuvre d'art, ou alors j'étais simplement trop enragé de la savoir si gentille pour ne serait-ce qu'envisager de la laisser partir avant que je la brise comme la traînée qu'elle était. Elle pouvait me répéter chaque jour qu'elle m'aimait, je m'en fichais bien. Je ne voyais chez elle que cette douceur folle que je mourrais d'envie d'écraser. Je ne l'ai jamais aimé, mais j'ai toujours su mentir avec une facilité atroce. Aussi, je n'ai pas eu le moindre mal à prononcer mes vœux pour elle en regardant ses yeux pleins d'amour pour moi. J'aurais pu vomir sur cette immonde créature, j'aurais pu la frapper tous les soirs en lui ordonnant de se taire, et, putain, j'aurais pu la tuer dans le salon sans rien en avoir à foutre.
Je ne tues pas, je laisse cette bassesse à d'autre.
Alors j'ai opté pour une méthode moins radicale mais au combien plus vicieuse. Je ne lui faisais plus l'amour, enfin, je ne faisais plus semblant de le faire. Je comblais mon ennui en passant entre ses cuisses. Je voulais qu'elle soit mienne et seulement mienne pour chaque jour me réjouir de la voir sangloter dans le lit défait. Une chance pour elle, mon manque se fit ressentir plus tôt que prévu. Je n'étais pas fait pour me cantonner à une seule femme. Je n'avais jamais vécu avec une unique miséreuse vivant pour moi et ma virilité. J'avais besoin de bien plus. Et c'est là que j'ai commencé à passer le plus clair de mon temps dans des bars, payant des verres à une jolie paire de seins pour terminer ce petit jeu dans sa chambre. Tous les soirs j'en changeais et je rentrais faire de même, avec nettement moins d'attention, sur ma chère et tendre Emily. Je savourais de la voir plus triste et plus jalouse chaque soir.
Et il a fallut qu'elle donne la vie...
Je regrettais de ne pas la lui avoir prise plus tôt mais je passais tellement de temps dehors que je ne cherchais même plus à savoir. J'ai commencé à descendre une bouteille chaque fois qu'elle me parlait du bébé. Je ne comprends toujours pas qu'elle ne se soit pas suicidée avec lui en apprenant qu'elle était enceinte. Il aura donc fallut attendre neuf mois mais une horreur est finalement venue au monde avec cette tête frêle et minuscule que je rêvais de serrer dans un étau jusqu'à la voir éclater en mille morceaux d'os et de cervelle. La petite merveille que je détestais déjà n'avait pas finit de grandir qu'une autre était déjà en chemin pour la rejoindre. Je commençais de plus en plus à vouloir les faire disparaître sans pouvoir m'y résoudre. Mais Tahlia et Andréa faisait trop partie de ma vie et de celle d'Emily alors j'avais éludé cette pensée diabolique et je continuais de vivre comme je le souhaitais. Emily avait nettement plus de talent pour changer des couches et qui plus est, elle avait encore de l'amour à donner. Ça me dépassait mais du moment que je pouvais continuer les affaires loin d'elle, je m'en contrefichais. Sans doute aurais-je du arrêter de jouer si violemment avec elle. Ou alors était-ce le destin qui avait voulu que ma descendance soit au nombre de trois. Keziah a finit de gâcher ma vie en créant cette famille dont je ne voulais pas. Bien sûr, Emily l'aimait déjà autant que ses sœurs, ce qui me laissait d'autant plus de temps pour mon whisky et mes innocentes victimes. L'avantage? Avec trois gosses dans les bras, Emily perdait sa joie de vivre et me laissait tranquille. Je m'étais habitué à ce rythme de vie et j'avais même finit par m'accommoder des pleurs juvéniles qui accompagnaient ceux de ma femme.
J'aurais du savoir que ça ne durerait pas...
Il nous arrivait de passer du temps en famille à l'hôtel de ma mère. Je me doutais depuis longtemps que ma mère n'approuvait pas Emily mais je ne pouvais pas lui en vouloir, elle ne voyait pas le petit jeu que je menais sur elle. Je ne pensais tout de même pas voir son cadavre dans la même crypte que le mien le jour même de mon décès prématuré. J'avais du mal à croire que j'étais mort et c'était d'autant plus difficile que mes veines n'avaient pas eu le temps de se glacer avant que je ne revienne parmi les vivants. J'avais pis quelques temps à comprendre et à réaliser ce qui s'était passé. Après tout ce que j'avais pu entendre au sujet de la mort, voilà qu'elle m'avait frappé d'une lacération dans la gorge en me laissant mes 37 ans pour toujours.
Plus de vie...
Plus de vieillesse...
Une éternité pour jouir de ce visage qui ne s'endommagerait jamais...
Je suis enfin heureux.
Bien sûr ça n'a pas continué. Emily est devenue d'autant plus folle après sa mort. Notre progéniture est tombée morceau par morceau. J'ai appris que Tahlia s'était fait tuer. Les deux autres? Suicide. Plus ou moins... Elles sont toutes aussi folles que leur mère. Je suppose que j'aurais dû ressentir quelque chose, être triste ou même simplement compatissant mais tout ce que j'ai éprouvé c'était de la joie à l'idée qu'elles soient enfin mortes. Ce qui était dommage c'est que leurs morts les aient condamné à errer dans l'hôtel comme leur mère et moi. Je n'en serais jamais débarrassé. Dans le même temps, ce fut le tour de mon frère et sa précieuse femme. Son fils a suivit le mouvement. J'étais donc entouré de ma famille dans cette mort éternelle. J'aurais préféré passé mon éternité de fantôme avec n'importe qui sauf eux. Je n'ai jamais été très attaché à ces liens qui m'ont toujours uni à ces gens mais je retirais de cette compagnie un nom prestigieux. C'était sans doute plus que je ne pouvais espérer venant d'eux. Un siècle déjà que je vivais... Ou plutôt mourrais ainsi. Au début j'avais pensé que c'était juste un syndrome de Cotard, une fausse mort, et pourquoi pas de la folie de groupe.
Après une centaine d'années comme ça, je vous garantis qu'on ne croit plus en rien...
Dernière édition par Hadès Fitzgerald le Mar 24 Fév - 11:54, édité 2 fois
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A. Primrose Harendel
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Sujet: Re: Fuck me like I paid you for it. † Hadès Fitzgerald Lun 23 Fév - 18:53
Mr orgueil à l'état pur, bienvenue !
Je ne connais absolument pas Alexander, mais il correspond très bien à Hadès. Puis... si tu as des questions, n'hésite pas, nous sommes là pour ça !
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Sujet: Re: Fuck me like I paid you for it. † Hadès Fitzgerald Lun 23 Fév - 20:40
nanananannanannanan BATMAAAAAAN
bienvenue
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Sujet: Re: Fuck me like I paid you for it. † Hadès Fitzgerald Lun 23 Fév - 20:49
Owai! Batsy partout, y'a rien de mieux pour démarrer! Merci vous deux, j'adore les accueils à coup de Chat Fouin et de chauve pourrie.
Et sinon... Je pense avoir finit ma fiche. (J'ai juste un doute pour le caractère si vous préférez que je fasse un texte ou si les adjectifs présents dans le poste vacant suffiront.)
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Sujet: Re: Fuck me like I paid you for it. † Hadès Fitzgerald Lun 23 Fév - 22:59
nan des adjectifs sont suffisants mais il faut que tu ailles poster dans ce message pour que la grande Fitzegarld vienne te condamner à errer parmi nous ... ok je crois que je devrais aller me coucher moi
PNJ
Mary Fitzgerald
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Sujet: Re: Fuck me like I paid you for it. † Hadès Fitzgerald Mar 24 Fév - 14:13
Bienvenue au Fitzgerald's Hotel
TU ES VALIDE
Tout d'abord, bienvenue à toi! Tu fais désormais partie des Orgueil, et nous t'avons attribué les Appartements des Fitzgerald . Nous espérons que tu t'y sentiras à l'aise - Puisqu'elle sera tienne pour l'éternité. Désormais que tu fais partie des clients de l'hôtel, n'hésites pas à venir rencontrer tes voisins ici afin de leur demander des liens. Une fois fait, n'oublies pas de passer ici pour que tes voisins puissent te demander des topics. Ensuite, pense à passer dans cette partie là afin de demander un job pour payer ta chambre pour l'éternité, si tu le souhaites, ainsi qu'ici pour rester connecter au réseau de l'hôtel.
Mais avant toute chose... Amuses-toi bien ici, et surtout, fais attention aux personnes que tu rencontres, et inspecte toujours ta chambre avant de t'endormir. Bon jeu !