I'm on highway to hell. // Sebastian Stan

Cette petite bouille que vous voyez là c'est Judas Chamberland. Ca fait déjà 35 années que sa mère l'a mis au monde un 17 Décembre. Dans son entourage, on peut trouver décrire ici les relations que votre personnage possède déjà, sa famille, ses amis, ses amours etc . Dans sa famille, ils étaient plutôt de la classe Haute. Mais un jour, il/elle est arrivé(e) à l'hôtel 1 Mois et depuis, on peut le/la croiser vivant . Aussi, quelques personnes ont remarqué sa particularité, vous savez cette capacité qu'il/elle a de Aime les très jeunes demoiselles et adore les hommes virils. L'autre jour, on lui a parlé de la mort et il/elle a tout simplement dit : Etre mort c'est abandonner la chaleur humaine. De tous les côtés de la chose. C'est perdre le vrai sens du mot exister.

CARACTERE

Je rêve de finir ma vie sur un transat au soleil au bord d'une piscine / Les tatouages, je trouve ça affreusement sexy / Les gueppières aussi / J'ai écrit plusieurs thrillers qui ont connu leur petit succès / Je détèste prendre l'avion/Regarder la gymnastique artistique féminin à la télé, c'est un petit passe temps que j'affectionne tout particulièrement / Je ne veux pas d'enfants, ça pue, ça crie, c'est chiant / J'me vois pas marrié non plus, l'Amour, c'est pour les faibles/ Je crois en Dieu. Et comme Dieu, c'est moi...Du sexe évidemment /Je suis insomniaque mais je le vis bien/ J'ai un penchant pour les bons whisky/Je suis végétarien, j'aime que la viande humaine/



DOMINATEUR - AVIDE DE POUVOIR

Les autres sont faibles. Enfin, je veux dire, ceux qui n'osent pas répondrent à leurs pulsion. L'Homme aime dominer, aime le pouvoir et ceux qui vont à l'encontre de cette nature humaine sont tout simplement des hypocrite. Je n'aime pas ces gens. Non, je ne suis pas supérieur, c'est juste que moi, j'ai accepté ma nature et je m'aime comme ça.

NARCISSIQUE - EGOISTE

J'ai toujours aimé ce que j'étais et ce que je suis. J'ai réussi dans la vie, j'ai la chance d'avoir une belle gueule. Il est important de s'aimer et de penser à soi. On ne peut pas réussir dans la vie si on ne s'accepte pas. C'est d'ailleurs pour cette raison que personne ne partagera ma vie. Ne pensez-pas que je n'accorde ma confiance à personne, je n'ai juste ni le temps, ni l'envie de passer ma vie à m'occuper d'une grluche ou d'une tarlouze.

DETERMINE - FONCEUR

Je n'ai pas peur de la chute en me lançant dans un projet, dans une idée. Je n'ai aucun scrupule à dégager quiconque qui se postera devant moi. Savoir, c'est pouvoir. Dégager, c'est dominer. Dominer c'est arriver.

ARROGANT - SARCASTIQUE

J'ai jamais aimé l'autorité -, ni ce qu'on me dise quoi faire. A priori avec tout ce que je vous ai déjà raconté je passe pour le parfait connard. Mais le plus beau n'est-ce pas ? Soit. Je trouve un malin plaisir à utiliser ma petite langue de vipère pour remettre les gens à leur place sous un humour... particulier.

FIDELE - SERVIABLE

En amitié, entendons nous. Demandez moi d'être fidèle en amour et je vous répondrais : "tu as déjà vu du chocolat sans cacao ? C'est impossible. " Je n'ai pas beaucoup d'ami véritable, ils sont d'ailleurs 3 et partagent leurs fin de vie avec moi, ici à l'hôtel. Cependant, je ferais tout pour eux. Par contre, comme je vais finir ma vie ici, je risque probablement de rencontrer des personnages sympathiques, que j'aiderai si ils le méritent. Vous savez, il vaut mieux me compter dans vos amis.

DROLE - CHARMEUR

J'ai le sens de l'humour, j'aime charmer et me faire passer pour un Saint. J'aime savoir que je plait, j'aime la chaleur de la chair humaine. Le rire, c'est l'ouverture à tout. Vous me suivez ?

RACONTE NOUS TA LIFE  

J'm'appelle Vanina, j'ai 23 ans. I Come From Belgium. J'aime le chocolat (oh oui) et la bière (oh oui oui). J'ai une vie assez chargée donc je serait présente 2-3j/ 7 ET JE SUIS TROP MEGA HEUREUSE D'AVOIR TROUVE CE FORUUUUM! WALLAAAAAAAA !    

Je n’ai jamais manqué de rien, j’ai toujours eu tout ce que je voulais. Fils à papa milliardaire, je n’avais qu’à claquer des doigts pour obtenir ce que je désirais. Surement toute cette facilité qui a fait de moi l’Homme que je suis devenu aujourd’hui. Un vrai connard. Oh, je le sais et j’aime prétendre aux gens le contraire pour ensuite retourner ma veste. La manipulation. Un vice que j’adore. Une drogue. Obtenir des gens ce que je veux, je pourrais appeler ça un talent. Sauf que le talent, ça à un prix et je l’ai payé malgré moi.

Julie, Mélissa, Joy, Maria, Lucie, Britt, Marley, Jhon, Clem, Darwin, Mary-Lou, Johachim, … Tant de personnes qui ont croisé ma route et mon addiction pour le sexe. C’est ça mon talent. Je procure à des gens un plaisir charnel qui ne peuvent pas ressentir dans leur couple. Je suis la bouffée d’oxygène, leur fantasme, je lève toutes les interdictions. Je suis leur Dieu l’espace d’une nuit, souvent trop courte. Je me nourris de leurs cris et de leurs orgasmes. Je ne peux pas vivre sans eux et ils ne peuvent pas vivre sans moi. Que fait un prédateur quand il n’a pas sa ration quotidienne ? Il chasse. Et ce soir-là, j’étais en chasse. Ivre, je tombe sur une jolie rousse au doux nom de Rosie, prénom que je me suis empressé de noter dans mon carnet de notes à « conquêtes »  J’adore les rousses. Et les filles, plus elles sont jeunes, plus cela m’excite. Cette petite brindille me faisait du rentre dedans au bar, ni une ni deux, dans un coin de rue sombre je lui enlève son innocence. Deux mois plus tard, les flics à ma porte. Je suis inculpé de viol. La rousse n’avait que 18 ans. Je clame mon innocence en prétendant qu’elle m’avait assuré d’être majeure. Rien n’y fait. Vous savez, dans ces cas-là, on croit la « victime ». J’ai de l’argent, je paie ma caution avant le procès. La pute rousse débarque chez moi et m’annonce que je suis le père de son enfant. Sans réfléchir je claque la porte et m’apprête à changer de vie.

Au tout début y’avait Aaron King. A 17 ans, je l’idolâtrais. C’était le mec qui se fichait de tout, qui n’en avait rien à  foutre de personne. Il aimait la bière et les blagues salaces. Il était du genre fainéant et nonchalant à écouter les Beatles dans sa chambre. Et il était amoureux. C’était le pote qu’on suivait partout pour faire la fête. D’ailleurs, c’est grâce à lui que nous avons tant de bons souvenirs de notre adolescence. Un putain de bon gars cet Aaron. Un peu bagarreur mais un putain de bon gars. Il avait le cœur sur la main. Des fois, je me demande comment on pouvait être potes à être si différents. « Aaron ? C’est Jude. Oh ça va et toi ? Bah oui, je sais ça fait un bail mais tu sais le boulot et tout ça…  Bref, je me suis pris un moment de nostalgie et j’me suis dit que j’appellerai bien mes vieux potes pour refaire un tour des USA comme on l’avait fait au bon vieux temps. […] » Et j’ai embarqué Aaron dans mon merdier.

Ensuite y’avait Marley. Marley Baker. Le mec le plus banal du monde. Mais qu’est-ce qu’il était drôle. Et il nous trouvait toujours ce qu’il fallait. Drogue, alcool, et coups foireux. C’était le mec le plus heureux du monde et pourtant il vivait dans une caravane avec sa vieille mère. Je me suis toujours dit qu’il n’était pas tout net. Il faisait partie de notre groupe, je ne sais plus trop comment d’ailleurs, surement parce que c’était un des seuls à savoir voler des voitures. Je l’ai embarqué aussi vers la destination du non-retour.

Et enfin, avec nous, nous avions Ayden Von Warnier. Il vient d’une famille Allemande qui a migré aux USA lors de la seconde guerre. Je n’ai jamais su si ils étaient du bon côté de la force où du côté obscur mais je ne suis pas sûr de vouloir le savoir. Ayden, c’était notre cerveau. Le mec il calculait notre pourcentage de chance de pécho une meuf. Il nous vendait du rêve avec ses calculs incompréhensibles. Le mec, il avait aucun pote et puis on l’a trouvé dans un parc à mater des filles qui faisaient du monokini, depuis, on l’a adopté.
Lorsque nous avions 18 ans, il était temps pour nous de nous quitter et d’entrer à la fac. On s’est dit qu’il fallait qu’on marque le coup, histoire qu’on ne s’oublie pas. Qu’on fasse un truc de dingue. Un truc dont on se souviendrait toute notre vie et qu’on ne raconterait pas à nos enfants. Et on l’a fait. Putain, c’était incroyable. On a des souvenirs à jamais gravé dans nos mémoires et sur du papier glacé. Je froisse entre mes mains ces photos après avoir contacté mes anciens potes. Je pleure. Je me dis vraiment que je suis un sale con d’infliger ça à mes potes. De les obliger à venir avec moi pour le restant de l’humanité dans un hôtel miteux. Mais je ne peux pas y aller seul. De toute façon, ils ne sauront jamais que je savais. Jamais. Sinon, je vais passer l’éternité à vivre avec des gens qui me haïssent.