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 Ulysse - The Ghost of You

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MessageSujet: Ulysse - The Ghost of You   Ulysse - The Ghost of You I_icon_minitimeVen 17 Juil - 15:01




Ulysse Bartholomew Newton
29 ans † Envie † vivant † ft. Bob Morley

Cette petite bouille que vous voyez-là c'est Newton ulysse. Ça fait déjà 29 longues années que sa mère l'a mis au monde un 21 Novembre brumeux en Irlande. Dans son entourage, on peut trouver Calliope et Hecate, ses deux précieuses amies mais également un rival de toujours, Silas. Ils sont les seules personnes qui semblent exister dans ta vie et ressembler de près ou de loin à l'idée que tu te ferais du mot "famille".. Dans sa famille, ils étaient plutôt de la classe moyenne. Mais un jour, il y a à peu près deux ans, il est arrivé avec Hecate dans les bras ayant entendu par un bouche-à-oreille sinistres mais convaincant du Fitzgerald's Hotel qui lui est alors apparu comme sa dernière chance et depuis, on peut le croiser aussi vivant qu'une belette enragée. L'autre jour, on lui a parlé de la mort et il a tout simplement dit : j'ai rendez-vous avec la mort mais seule elle en connait la date et l'heure.


Caractère


En quelques mots, et pour résumer puisque s'il me fallait décrire la psychologie d'Ulysse en long, en large et en travers, il me faudrait plus que quelques lignes, permettez-moi de vous introduire Ulysse Bartholomew Newton. Jeune homme approchant de la trentaine, il se révèle être d'une patiente et d'une sérénité à toute épreuve. Souvent accusé à tort par des langues de vipère, Ul' ne s'est cependant jamais défendu. Nourrir le discours empoisonné d'une tierce personne bien trop occupée à faire naître et se répandre des rumeurs en reviendrait à alimenter un estomac bien rempli et serait, en définitive, inutile. Pourquoi se battre pour des choses veines n'ayant pas lieu d'être alors qu'en les ignorant, elles finissent à disparaître à petit feu. Alors ses parents ont beau lui en vouloir, adhérer au discours de ceux qui ont sonné l'arrêt de mort de son esprit aussi saint que ne l'aurait été une bonne sœur à la recherche des stigmates de notre seigneur jésus christ. Amen.  Le destin n'a pas toujours été tendre avec lui mais malgré cela, ce grand gaillard aux yeux perçants, a toujours conservé cette attitude protectrice qu'il prit l'habitude de développer en présence de ceux qu'ils jugeaient bons. Plutôt sociable, le garçon a passé son enfance à courir aux côtés d'autres enfants, a toujours fui la solitude comme la peste et a toujours donné le meilleur de sa personne. Généreux, observateur, protecteur, il pourrait être le synonyme du grand-frère parfait puisque, de mémoire de vivant, jamais une seule fille ne l'a considéré autrement que comme tel. A un moment de sa vie, il a alors douté de son comportement, son attitude, et a essayé de jouer les bad boys ... en vain. Trop bon, trop con, adhérer à un autre style de vie que le sien lui semblait impossible. Et surtout, lorsqu'il eut sa première confrontation avec la police pour dégradation de matériel en présences d'enfants dans un lieu public, il s'est senti trop gêné pour faire le gros dur et s'est instantanément excuser en proposant immédiatement de payer sa dette. Une autre chose qui lui a longtemps tenu à cœur est le fait de ne pas dépendre de ses parents. Ainsi, depuis ses huit ans, il s'est plu à livrer les journaux dans sa ville natale et ce même lorsque sa famille et lui ont déménagé dans sa ville d'adoption. Le maigre pécule qu'il accumulait lui permettait ainsi de se payer ce qu'il lui plaisait en fonction de ses envies mais surtout de faire plaisir aux autres ... Nulle âme bafouée ne se cache derrière ses traits amicaux, seul un homme amoureux et envieux qui se battra jusqu'à la fin pour obtenir ce qu'il désire.


Raconte-nous ta life


Ici écris nous comment tu es arrivé(e) sur le forum, comment tu le trouves et... bah en fait tu nous parles de toi happy HEJ ! Cleiya en direct du trou du cul du monde, 23 ans, les neurones mal agencés au sein d'un crâne baignant dans un océan d'immondice imaginaire. Je débarque parmi vous avec mes valises bien accrochées au bras grâce à Bazzart et aux doux et chaleureux messages que les membres y ont laissés et qui m'ont, par la même occasion, convaincus de venir jeter un coup d'oeil en ces lieux de perdition. AHS étant une référence en la matière, je me suis laissée séduire par l'inspiration du forum et suis encore intriguée quant à ce qui va bien pouvoir s'y passer. Bien vite je me suis attardée sur le scénario de Callio (merci mon petit cupcake d'avoir créé Ulysse, depuis le temps que je voulais jouer avec Bob ...) et je me suis pris d'affection pour le trio qu'il formait avec Hecate et Callio en plus de ses liens avec Silas et Beathan. Tout ça, ça promet d'envoyer du pâté de campagne en orbite et moi, les orbites, ça me botte. Je suis ravie de tenter l'aventure aujourd'hui à vos côtés et espère que cette nouvelle aventure qui démarre ne sera qu'amûr, pêchés et surprises !



Dernière édition par Ulysse B. Newton le Ven 17 Juil - 22:01, édité 6 fois
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MessageSujet: Re: Ulysse - The Ghost of You   Ulysse - The Ghost of You I_icon_minitimeVen 17 Juil - 15:01




Baby I'm a fool for you
Supermassive Blackhole


La vie. La mort. On vit. On meurt.
On rit. On pleure.
On crie. On ....

« ULYSSE ! »

Le simple fait de lever la tête du morceau de papier sur lequel le regard perçant était plaqué depuis déjà une trentaine de minutes lui fait froncer les sourcils et lui demande un effort surhumain. Sa mâchoire ne se contracte pas, son corps n'émet aucun signe de protestation ni même de contrariété. Cette interruption inopinée apporterait peut-être même une bouffée d'oxygène inspiratrice à ce poète du Dimanche, qui sait ?

« Oui ? »

Sa voix est alors légèrement plus aiguë que la normale, ses cordes vocales ayant perdu l'habitude de s'agiter au rythme de ses réflexions engageant un dialogue sensé et il se racle immédiatement la gorge pour répéter une nouvelle fois d'une voix aussi virile que celle qui pourrait s'échapper de la gorge d'un enfant de huit ans, ne laissant pas le temps à sa sœur de se moquer de sa voix de crécelle.

« Maman elle a dit que tu devais nettoyer la vaisselle ! »

Lâche-t-elle comme une bombe en ricanant machiavéliquement alors qu'elle s'évapore dans la nature, entre les buissons du jardin que j'observe d'un oeil amusé en me redressant de dessus mon bureau où reste plaqué contre le bois usé la feuille à demi-blanche que j'ai réussi à noircir ne serait-ce l'histoire de quelques lignes à l'écriture appliquée et penchée comme le club de calligraphie me l'avait enseigné. C'est finalement nonchalamment que je tombe volontairement dans le piège de ce petit diable de six ans en descendant les marches et en forçant l'étonnement devant les yeux de chouettes que j'entraperçois à travers la fenêtre de la cuisine et dont la silhouette ne perd pas une minute pour disparaître une fois de plus. Si j'avais hérité du calme et de l'optimisme de ma mère, Livia, quant à elle, pouvait dresser une belle liste de qualités et de défauts attenant à mon père intrépide qui devait être en train de trimer comme un chien à ce moment précis sur son petit bateau de pêche partant du port de Cork, longeant la rivière Bandon pour aller titiller du bout de son hameçon fait maison les grosses prises de la mer celtique. C'est sur cette pensée que je m'empare, sans me justifier, de la première assiette n'attendant que d'être nettoyée au bord de l'évier.

« Tu vas bien aujourd'hui maman ? »

Le jeune garçon fait de sa famille et des autres une priorité et c'est d'ailleurs la raison pour laquelle il engage la discussion avec sa mère, souriante, qui s'empare à son tour d'un torchon pour essuyer la vaisselle en sa compagnie. Dana Newton se félicite souvent d'avoir donné naissance à ce petit brun aux yeux en amande qui pense plus à son prochain qu'à lui-même et c'est avec fierté qu'elle l'emmène partout avec elle. Même lorsqu'il s'agit des courses. Seulement, aujourd'hui, alors qu'elle prend le temps d'essuyer les trois premières assiettes, ses yeux perdent de leur éclat alors qu'elle entrouvre les lèvres en tremblotant, détail qui n'échappe pas au regard inquisiteur de son fils qui s'arrête en plein travail en n'oubliant pas de fermer le robinet d'eau chaude qui coule et fait monter la mousse nappant l'eau, cachant par la même occasion les quelques ustensiles qu'il restait à nettoyer.

« Ton père ... » commence-t-elle avant de fermer les yeux et poser son torchon avec un calme olympien sur le dossier de la chaise la plus proche sur laquelle elle s’assoit et à ce moment-ci, Ulysse est content d'avoir pris la place de sa petite sœur pour cette tâche ménagère puisqu'il pourrait, du mieux possible, aider sa mère à surmonter cette attente interminable. je sais, ça fait déjà deux semaines, n'est-ce pas ? Réplique-t-il avec autant de calme en l'imitant, tirant une chaise à ses côtés et saisissant délicatement sa main droite, jouant avec l'anneau entourant son annulaire. « Papa perd toute notion du temps lorsqu'il part pécher, il ne faut pas lui en vouloir ou s'inquiéter ... tu le connais mieux que moi et même si ça te parait long, il va revenir ... » L'apaisait-il de ces quelques mots sagement choisis et qui faisaient en même temps l'effet d'un baume apaisant sur le moral de Dana qui retrouvait immédiatement son entrain habituel. « Tu as raison Ul' ! » Elle se dresse avec énergie et retourne vers l'évier en compagnie de son torchon pour finalement jeter un peu de mousse sur son fils qui prend son temps. Mais s'il prend son temps, ça n'est pas pour agacer sa mère mais plutôt pour déchiffrer les quelques mots visibles sur la lettre émergeant de l'enveloppe à la mention "urgent" posée sur la table. Le mot "DETTE" est d'ailleurs le seul qui restera gravé dans sa mémoire alors qu'il repartira, bon enfant, dans cette quête de nettoyage express en faisant de son mieux pour changer les idées de sa mère.

Il avait beau n'avoir que huit ans, il savait ce que voulait dire le mot dette ...

∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙

Quelques années plus tard, sept plus exactement, nous retrouvons le jeune poète livreur de journaux sur son vélo souhaitant épargner quelques frais à ses parents en prenant sa vie en main depuis maintenant sept longues années. Depuis son entrée au collège, il a insisté pour remplir tous les papiers le concernant, prendre ses rendez-vous chez le médecin lorsque nécessaire et également payer pour les honoraires de ce dernier. Responsabilisé et étrangement mature pour son âge, il reste parfois nostalgique de son enfance joyeuse en Irlande et de ses amis restés là-bas alors que lui avait du déménager avec ses parents en Angleterre. Sa mère avait trouvé quelques clients à satisfaire au royaume de la gelée visqueuse et des chapeaux melons et dispensait ses cours de yoga et de coaching personnalisé entièrement bio à de riches snobs de la capitale. Ulysse se doutait que la rentrée d'argent n'était pas suffisante à ses parents pour payer cette étrange dette dont il avait appris entre temps l'origine. Les parents de son père avaient eux-mêmes hérités de cette dette en lisant le testament de leurs propres parents mais n'avaient jamais eu assez d'argent pour la rembourser et la passaient ainsi, honteusement, à leurs prédécesseurs. Ses parents prenaient cet événement avec autant de philosophie qu'ils le pouvaient mais apparemment, le récepteur de tous leurs paiements était devenu plus pressant et augmentait le nombre de courriers menaçants leur étant adressé. Face au calme apparent et à la bonne humeur de ses parents, Ulysse savait qu'ils avaient également trouvé de très bons amis sur lesquels compter et chez lesquels ils se rendaient le soir même alors que son père rentrait d'une pêche fructueuse. Il emmenait même ce bel espadon qu'Ulysse et Livia admiraient dans la voiture alors que la queue dépassait du coffre et apparemment, ils allaient le manger ...

Ah, vous avais-je dit qu'Ulysse était végétarien ? Selon lui, tuer des animaux aussi innocents soient-ils pour une question d'égoïsme, de gastronomie ou de gourmandise était une terrible félonie à laquelle il ne s'abaisserait pas. Livia, elle, croquait volontiers dans une bonne chair tendre et saignante face au regard incrédule de son frère qui ne se permettait pas de la sermonner pour ses préférences. En revanche, elle, elle ne se gênait pas pour le traiter d'herbivore et parfois même de lapin des bois. Chose qui le faisait rire. Si Livia était plus directe, franche et agressive que lui, il ne lui en voulait jamais et l'admirait même de faire preuve d'autant de fougue en toute circonstance. Lui savait bien qu'avec son tempérament trop peu affirmé il ne parviendrait jamais à devenir PDG ou Manager mais finirait par travailler en toute autonomie ou alors en tant que simple employé modèle qui ne rechigne jamais à la tâche ou ne demande jamais la moindre augmentation. De toute façon, diriger et commander aux autres ne l'intéressait pas le moins du monde.

Ils arrivèrent finalement à destination, Ul' aida son père à trimbaler l'énorme poisson autour duquel dansait Livia avec un peu trop d'impatience et d'enthousiasme à l'idée de le dévorer, tout cru même si on le lui avait donné l'autorisation. Son plat préféré était le tartare et lui avait valu le surnom de "cannibale" qu'elle appréciait à sa juste valeur. Elle se faisait ainsi maintenant connaître sous le nom de Livia la Cannibale que ce soit auprès d'inconnus comme de connaissances de nos parents. Ses amis même l'appelaient comme ça et elle semblait les terroriser assez pour qu'ils ne se permettent pas plus de familiarité. Dans un sens, elle lui faisait peur mais ça, il ne l'avouerait jamais ouvertement.

« Chéri, les Newton sont arrivés ! Va chercher Olympe, vite ! Bonsoir Dana, bonsoir Jude. Ulysse, comme tu as grandi ! Et toi, Livia ... »
« Livia la Cannibale ! »
« Livia la ... quoi ? »

Madame Preston s'était étonné de voir la petite s’attribuer un tel surnom et fut coupée dans son élan d'hôtesse parfaite par la mine terrible du petit monstre. Dana la rassura d'un sourire bienfaisant et l'entraîna avec elle, prétextant vouloir admirer son dernier chef d'oeuvre car, oui, Madame Preston était une artiste et plus précisément une peintre dont les tableaux s'arrachaient apparemment à Londres. Ulysse observait d'ailleurs l'un d'entre eux au moment où il perçut à peine des bribes de conversation houleuse provenant de l'étage alors que son père et sa petite soeur quittaient le hall d'entrée de leur magnifique villa pour aller poser l'espadon dans la cuisine.

« Lâche ... moi .... tu ... fais mal ! »

Une voix qu'il imaginait être celle de sa bonne amie Olympe s'élevait terriblement du haut des escaliers vers lesquels il dirigea son regard et son visage impassible. Il la vit dévaler les escaliers, suivie de son père dont un élan de rage le poussa à saisir violemment sa fille par le poignet.

« Ne t'avise plus jamais de me parler sur ce ton jeune fille ! »

Il lâcha le poignet violacé avec dédain et adressa à peine un coup d’œil à Ulysse qui avait assisté à une partie de la scène et qui n'osait même pas imaginer ce qui avait pu avoir lieu à l'étage. Tout ce qui lui importait à cet instant était d'emmener Olympe avec lui, à un endroit où ils pourraient voir et entendre mais ne pas être vus ni même entendus. Elle vint vers lui et se laissa tomber entre ses bras, en larmes alors qu'il caressait doucement ses cheveux sans rien dire. Les battements du cœur de la jeune fille frappaient violemment contre son torse et au moment où il lui releva le menton pour qu'elle le regarde, il perçut toute la peine et la détresse de la jeune fille en un regard dont l'un des yeux était violacé. Là, à ce moment, il s'autorisa à froncer les sourcils. Quelque chose n'allait pas, il n'était pas dupe et ça n'était pas parce qu'il s'agissait des meilleurs amis de ses parents qu'il allait laisser passer ça. La colère rongeait ses entrailles et lui coupait tout appétit alors qu'il saisissait Olympe par la taille pour l'emmener au grenier où ils avaient l'habitude de jouer ensemble depuis que les Newton étaient arrivés en Angleterre et qu'ils avaient renoué avec leurs amis d'enfance.

« Ulysse ... j'en peux plus ... »

Laissa-t-elle filer entre deux sanglots, la tête posée sur le torse de l'adolescent qui fixait les longs cheveux d'Olympe sans mot dire. En à peine trente minutes, elle lui avait dressé le portrait de sa vie et surtout la violence dont son père faisait preuve à son égard et qui la faisait plonger de plus en plus au cœur d'une terrible dépression. Il ne pouvait pas laisser passer ça mais ... alors âgé de quinze ans, que pouvait-il faire. Que pouvaient-ILS faire ? Peut-être que la psy de l'école lui accorderait un instant d'attention, un semblant d'aide mais est-ce qu'il y avait la moindre issue pour Olympe ? Qui impliquerait que son père ne l'achève pas en une violente gifle la rejetant en arrière contre un objet qui pourrait endommager sa boîte crânienne et lui coûter la vie ? Tous les scénarios possibles et imaginables passaient dans son esprit et il savait déjà qu'il resterait muet tout au long de la soirée. Qui était-il pour taper un scandale au beau milieu du repas ? Surtout maintenant qu'il savait que les Preston aidaient les Newton à s'échapper de cette dette ... L'argent ... ce terrible argent pouvait tout acheter.

« Ne t'en fais pas, ça va aller ... tu peux compter sur moi Oly ... tu peux compter sur moi ... »

Comme prévu, le repas se déroula sans heurt. Ulysse parvint à calmer la peine d'Olympe et l'accompagna même dans sa chambre afin qu'elle fasse disparaître toute trace de coups et de tristesse de son visage à l'aide de pinceaux, poudre, fond de teint. A la fin du repas, il serra gentiment Olympe entre ses bras, comme d'habitude, afin de ne pas se faire trop remarquer et lui glissa à l'oreille "je t'appellerai tous les jours, tu peux compter sur moi". Et bien évidemment, il tint sa promesse. Ce problème à l'école qui avait suscité la rage de son père et l'avait poussé à la frapper pour la première fois n'était pas si terrible que ça, il allait se calmer et cette colle dont elle avait écopé finirait par s'évaporer ... Seulement, ce soutien qu'il lui apporta inquiéta les parents qui ne se firent pas prier pour menacer l'adolescent, appeler ses parents pour les avertir qu'il harcelait leur fille au téléphone en appelant tous les jours et qu'ils avaient peur qu'il développe un comportement psychopathe, le père d'Olympe, psychologue, insistant sur le fait qu'il avait l'habitude de côtoyer des adolescents avec des problèmes et que Ulysse se comportait exactement comme tel.

Alors, bien sûr, personne ne crut à cette terrible accusation, pas même les accusateurs qui tenaient plus à ce que leurs problèmes de famille restent bien cachés. De plus, les Newton avaient besoin d'eux alors ... pour une raison qui lui resta dès lors inconnue, il fut interné en hopital psychiatrique après que Monsieur Preston eu dressé un portrait peu flatteur du comportement psychologique douteux d'Ulysse qui prit cela à la rigolade et crut à une bonne blague. Seulement, il resta à l'institut bien plus longtemps qu'il ne le croyait.

∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙

« Tu parles jamais de tes parents Ulysse, ils sont jamais venus te voir ? »

Silence. Hecate n'avait jamais vu Ulysse énervé mais le froncement de sourcils de ce dernier lui indiqua qu'elle avait touché un point sensible. Lui dont le visage restait toujours impassible, de marbre, montrait pour une fois une émotion autre que la joie ou la bienveillance. Malgré ce froncement surprenant, Ulysse consentit à répondre.

« Ils sont ceux qui m'ont emmené ici. »
« Ne t'en fais pas, ça va aller ... tu peux compter sur moi Oly ... tu peux compter sur moi ... »

Un murmure se glisse lentement à ses oreilles, douloureux souvenir d'un moment, un soupir, un flash ... Il en faut plus pour le surprendre mais sur le coup, Ulysse sursaute légèrement alors que son subconscient l'attirait déjà en arrière au jour inattendu de son arrivée. Depuis ce jour, il ne les avait jamais plus vus. Avec un déchirement, il repensa à son enfance, sa petite sœur sanguinaire, sa mère solaire et son père travailleur. Olympe, également, hantait ses pensées. Qu'était-elle devenue ? S'en était-elle sorti ? Son père s'en prenait-il toujours à elle après avoir découvert que frapper sa fille le soulageait ? Il serra les mâchoires et Hecate le serra dans ses bras en s'excusant de cette question maladroite pour finalement confier à son ami imaginaire, Percy, qu'il ne faudrait jamais plus embêter Ul avec de telles questions indiscrètes. Il ferma les yeux, pencha sa tête en arrière jusqu'à toucher le mur et essaya de chasser toute pensée parasite de son esprit.

« L'as-tu appelée, Ulysse ... As-tu tenu ta promesse preux chevalier des temps modernes ? »

Un ricanement le tire de sa sieste inconfortable, le dos posé au mur tout comme sa tête alors que ses lèvres s'entrouvraient déjà pour laisser s'écouler un trait de bave. Fort heureusement pour sa dignité, il eut le temps de retenir cet écoulement indésiré et cligne des yeux, plisse les paupières pour apercevoir la silhouette assise à ses côtés alors que l'obscurité recouvre l'entièreté de l'espace de vie où les patients de l'asile prenaient leurs repas, souvent, dans un bordel des plus tonitruant.

« De quoi je me mêle ? »

Persuadé d'avoir affaire à une création de son esprit, le pseudo-psychopathe ferme de nouveau ses yeux, ne masquant pas son irritation alors que l'autre confirme sa présence, s'agite en ricanant comme une hyène. Sa respiration est rauque, ses prunelles hallucinées, son odeur ... pestilentielle. Comment sait-il ... Ulysse n'en avait pourtant parlé à personne ... pas même en thérapie ...

« Ton salut résidera à l'hôtel Fitzgerald. Souviens-t-en ! Les portes de l'enfer s'ouvriront à toi alors que tout te semblera perdu d'avance ... comme tous les autres avant toi ... »

Intrigué par ses mots n'ayant aucun sens à tes oreilles, tu tentes de le repousser d'un revers de main mais se fige en le reconnaissant. Abel. L'illuminé du coin présentant un terrible traumatisme neurologique le faisant, la plupart du temps débiter des histoires sans queue ni tête dans un langage dont lui seul a le secret. Serait-ce un signe, une bénédiction que le brun puisse alors le comprendre ou s'exprimait-il normalement une fois la nuit venue ? Un de ses sourcil s'arque devant de telles révélations alors qu'il le dévisage, tournant sa tête à quatre-vingt-dix degrés sur la droite, puis sur la gauche avant de reprendre, un air bienheureux accroché à ses fossettes. Il semblerait qu'il attende une réponse de la part du Newton qui ne tardera pas à répondre.

« Fitzgerald ? Parce que t'y es allé toi dans cet hôtel ? »

Son intérêt soudain provoque l'hilarité du fou de service qui roule par la même occasion sur le dos jusqu'à ce que se passent au moins deux minutes au cliquetis de l'horloge du coin et qu'il se calme. Soudainement sérieux comme jamais, il retrouve le chemin de la sagesse et perd toute trace de comportement douteux pouvant faire penser aux médecins qu'il a un sérieux problème. Il se redresse, avance à quatre pattes vers le sain d'esprit et s'assoit à côté de lui.

« Non. »

Ses lèvres se retroussent, ses pupilles se dilatent, son cerveau s'éteint. Puis il repart dans une folie nocturne qui attire cette fois les gardiens de nuit dans la pièce en déblatérant les mystères du monde aux oreilles des plus instruits des sages. Ses agitations sont diaboliques, à tel point qu'il renverse des tables, assaille les gardiens à l'aide de chaises et les guide vers une autre direction pour permettre à l'innocent de s'échapper.

Quelques jours plus tard, une nouvelle venue allait dissiper toute trace de son passé et de ses inquiétudes pour éclairer une fois de plus son monde, loin d'être sombre originellement. Car contrairement à beaucoup de patients présents ici, lui ne souffrait d'aucun problème et il en était persuadé. A part avoir une imagination débordante, Hecate et Callio n'entraient pas dans le moule des dérangés de cet espace. D'ailleurs, au fil des jours passés en leur compagnie, il sentit quelque chose de nouveau, de chaud, de sympathique se matérialiser en lui en présence de la blonde aux yeux malicieux. Il s'était découvert une nouvelle famille à l’hôpital psychiatrique et ne supportait pas l'idée qu'ils puissent rester ensemble ici alors qu'ils n'avaient rien à faire ici ...

« Il faut qu'on s'échappe. »

Lâcha-t-il un beau jour alors qu'ils se promenaient tous les trois dans le parc du bâtiment, loin de toute oreille indiscrète et de tout soupçon. Sa remarque attira d'ailleurs la stupéfaction de ses comparses qui, crut-il, n'eurent pas l'air enchantée par cette idée mais qui, finalement le suivirent jusqu'au bout. Ils allaient enfin pouvoir vivre comme une vraie famille saine d'esprit et qui, comme il le répétait bien souvent, s'aimait plus que tout. Certes, le mot aimer était très fort à ses yeux et attirait souvent la surprise des deux jeunes filles lorsqu'il le prononçait mais il y tenait énormément. En fonction d'Hecate ou de Callio, ce même verbe prenait deux tournures différentes mais masquées par un amour qui semblait fraternel. Il les avait un jour entendu discuter sur le sens que prenait ce "je t'aime" qu'il leur glissait et avait souri devant tant de crédulité. Il pouvait faire passer un message sans être pris la main dans le sac car, pour le moment, ils étaient encore trop enfermés, piégés et surveillés pour qu'il révèle ses sentiments à la lumière du jour. Alors, jusqu'au moment où ils vivraient ensemble et que tout irait bien, il ne dirait jamais à Callio qu'il l'aimait d'amour sincère.

La vie à leur côté était douce et paisible. Il avait osé embrasser Callio et ressentir tout un tas d'émotion envahir son cerveau en même temps, avait assuré leur protection et avait même trouvé un petit travail de serveur dans un bar situé non loin de leur cachette. Personne ne semblait leur courir après et tout était presque parfait ... Jusqu'à ce jour où ...

« HECATE ! »

Cela faisait trop longtemps qu'il avait crié et le simple fait de faire resurgir ce déchirement terrible de son corps et le muer en un cri l'avait surpris. Le goût de sang envahit sa bouche alors qu'il voyait le corps sans vie d'Hecate baigner dans une mare de sang. Il ne pouvait bouger et resta dans cet état de stupéfaction pendant de longues secondes qui parurent des minutes. Bouger ses jambes et ses bras à l'unisson lui revint d'un coup d'un seul et il manqua de trébucher sur le court chemin le menant à s'approcher. La voiture qui l'avait renversée s'était arrêté, sûrement pour vérifier l'état de la victime, et le moteur l'avait fait s'éloigner au loin en une vitesse record. Ulysse arriva suffisamment tôt pour relever les numéros et lettres de la plaque d'immatriculation qui resteraient à jamais marqués au fer rouge dans son cerveau qui refusait de penser à autre chose qu'à ces chiffres. Bien vite, Callio arriva à son tour et il lui cria presque d'aller chercher de l'aide alors qu'il saisissait avec précaution le corps sans vie d'Hecate entre ses bras. Jamais il n'avait ressenti autant de peine, jamais il ne s'était autant remis en question.

Et si j'étais resté avec elle.
Et si j'avais vu la voiture venir.
Et si je m'étais interposé ...


Seuls des "si" revenaient sans jamais de solution à son problème et Callio prenait trop de temps. Le pouls d'Hecate était toujours perceptible mais si personne n'intervenait urgemment, elle y passerait ... La voiture avait causé bien trop de dégâts. Ses membres étaient tordus, nombre de ses os, soupçonnait-il, étaient brisés au vu de la forme que prenaient ses bras, ses jambes et son corps en général. Sa boite crânienne était fendue et ... tant d'images terribles et violentes qu'il ne pouvait supporter et tout à coup ...

« Fitzgerald ... »

Ce nom lui revint à l'esprit comme une traînée de poudre laissée par le coup tiré d'un canon brulant. Il y avait peut-être encore un espoir et cet espoir, il le devait à Brann, un pauvre interné à l'hôpital psychiatrique avec des troubles du comportement terribles qui avait un jour eu une conversation sensée avec lui. La seule ... Et sûrement celle qui sauverait la mise à sa précieuse Hecate. Il ne pouvait plus attendre alors, avec cérémonie et en entendant d'autres os craquer alors qu'il soulevait le corps trop léger à son opinion, il emprunta la route qui le mènerait vers son salut ... vers leur salut ...

∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙

Hecate vit, Callio aussi et Silas est devenu l'ennemi public numéro un. La mort, l'amnésie, la jalousie et l'envie rythment désormais ses journées à l'hôtel maudit au sein duquel ils ont tous été piégés ... Le Fitzgerald's Hotel n'était pas un lieu de recueillement où Dieu tout puissant était glorifié mais plutôt un endroit où le pêché cédait place à l'avarice, la colère, la gourmandise, la luxure, l'envie ... Et ils défilaient devant ses yeux depuis deux ans ... ces clients piégés tant tôt vivants, tant tôt décédés comme sa précieuse Hecate. Seulement, la mort prenait un autre sens ici puisque les morts se mêlaient au vivant pour la plus terrible des danses ...

« Bienvenue au Fitzgerald's Hotel ... la bonne blague ... moi qui croyais qu'on aurait pas à payer ... »
« Salut Beathan ! »

Le manque de sérieux du Murphy apportait toujours joie et bonne humeur au Newton, tout comme sa venue qui était à chaque fois synonyme de fête et de surprises en tout genre. S'il voulait sortir de cette routine assommante et de ce quotidien de dingue qui lui faisait trop souvent penser à l'amnésie de Calliope la poussant à se souvenir de lui plus que de Silas mais qui au final retombait dans ses bras ... Il avait beau l'avoir amenée ici pour la sauver, comme Ulysse l'avait fait pour Hecate, il l'avait tuée ... Il avait beau dire que c'était involontaire, non désiré et qu'il l'aimait plus que tout, Ul ne pouvait y croire. L'envie d'avoir Calliope pour lui seul était plus forte que tout mais cette envie ne resterait qu'au stade de mirage ... Dès son arrivée, ses complaintes sur le pas de la porte principale de l'hôtel, Ulysse avait senti une animosité terrible envers le brun mystérieux aux cheveux mi-longs et ce même en ignorant tout du lien qui le liait à celle qu'il aimait. Le sort en était jeté, les dés étaient lancés, les deux hommes s'affronteraient jusqu'à la fin des temps puisque, et de toute façon, ils étaient coincés en ces lieux de perdition ...

« A quoi tu penses bro' ? »

Beathan le sort de sa rêverie par sa simple voix enjouée et pleine de couleurs et déjà il sent poindre l'excitation des prochaines heures passées en sa compagnie. Peut-être même que sa jumelle se joindrait à eux ? Les deux hommes s'aidaient mutuellement, autant que le trio ne se supportait et s'encourageait et même si celui dont la sœur était restée à la maison  n'approuvait pas le "job" de prostituée de la sœur de son nouveau meilleur ami, il l'aidait comme il le pouvait en lui trouvant des clients ... Peu reluisant comme poste à occuper, n'est-ce pas ? Mais si la luxure était le pêché au sein duquel elle avait décidé de se laisser glisser, ainsi soit-il ...

« La petite sauterie dont tu m'as parlé hier ... elle est toujours d'actualité ? »

Les yeux de Bea scintillent et il entraîne son acolyte par l'épaule vers le bar où se réunissent déjà bon nombre de vivants et surtout ... de morts ...
 

[/color]


Dernière édition par Ulysse B. Newton le Ven 17 Juil - 22:21, édité 10 fois
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MessageSujet: Re: Ulysse - The Ghost of You   Ulysse - The Ghost of You I_icon_minitimeVen 17 Juil - 15:10

OMGGGGGGGGGGGGGGGG piment piment piment mimi

Toi, je t'aime pas fuck

Mais bon, bienvenue quand même oyeah mimi
Je suis hyper contente que tu ai pris ce scénario, Calli va être dingue! mimi

Bon courage pour ta fiche coeur03
Si tu as des questions, surtout, n'hésites pas mimi

(Il y a un rapport avec London? Vous vous appelez tout les deux Lewis ii )
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MessageSujet: Re: Ulysse - The Ghost of You   Ulysse - The Ghost of You I_icon_minitimeVen 17 Juil - 15:19

TON DIEU A ETE MISERICORDIEUX ET M'A FAIT APPARAÎTRE DANS UN BOL GEANT DE NUTELLA oyeah

Je t'aime pas non plus mais un jour nous serons unis par les liens sacrés du ... wait, what ?
Je délire piment Cette conversation n'a jamais eu lieu !

Malgré tout je suis contente que tu m'accueilles avec autant d'enthousiasme ! J'espère que nous nous en ferons mutuellement baver, parce que la bave, c'est bon pour la peau même quand t'es mort :3 bave
je suis contente d'avoir cédé, surtout maintenant que je potasse plus en détail les annexes et le contexte ... J'ai plein d'idées qui me viennent à l'esprit et ... oh mon dieu il faut que je MP Calli maintenant !

Je n'hésiterai pas à me manifester si je suis perdue, merci de me proposer ton aide rival de mon coeur love
(Ha j'avais pas fait gaffe aux noms de famille déjà pris ... ça n'était pas volontaire, je vais changer de suite leche - pourrait-on remplacer Lewis par Newton s'il-vous-plait oyeah mimi )


Dernière édition par Ulysse B. Lewis le Ven 17 Juil - 15:21, édité 1 fois
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Arthur Powell
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MessageSujet: Re: Ulysse - The Ghost of You   Ulysse - The Ghost of You I_icon_minitimeVen 17 Juil - 15:20

BIENVENUUUUUE pompom
bon choix de scéna, tu vas faire une heureuse nyuh
et bon courage pour ta fiche biglove
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MessageSujet: Re: Ulysse - The Ghost of You   Ulysse - The Ghost of You I_icon_minitimeVen 17 Juil - 15:22

L'homme invisible owi
Merci gente personne, je tâcherai de préserver ce bonheur inattendu auprès de Calli et de faire de mon mieux sur le forum mimi
Merci encore pour le courage en boite bro' , je vais en avoir besoin biglove
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MessageSujet: Re: Ulysse - The Ghost of You   Ulysse - The Ghost of You I_icon_minitimeVen 17 Juil - 15:33

OH . MON . DIEU !!!!
Je sais...je sais même pas quoi écrire tellement je suis trop trop contente là **
Ce que je sais par contre, c'est que je n'entends plus rien à cause d'un cri de genre étranger qu'est sorti de ma gorge quand j'ai vu le pseudo Ulysse dans les derniers inscrits ii

CELA ETANT DIT !

KYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYY
YYYYYYYYAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA
AAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH
HHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH (ouais, je crois que ça ressemblait un peu à ça)

Non, mais je suis trop trop trop trop trop trop trop trop troptroptroptroptroptroptroptroptroptrop contente là sushi01

Bien sur, si t'as la moindre question, surtout t'hésites pas à me bombarder de MP, y'a AUCUN soucis, j'aime être bombardé de MP, parce que les MP, c'est la vie mdr (entre temps, tu m'en as envoyé un, donc c'est bien, on est sur la même longueur d'onde happy )

Sur ce, je ne vais pas m'abaisser à des choses comme les avalanches de smileys ou choses dans ce genre.

MAIS L'AVALANCHE DE GIF, JE SUIS PAS CONTRE:
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MessageSujet: Re: Ulysse - The Ghost of You   Ulysse - The Ghost of You I_icon_minitimeVen 17 Juil - 15:37

Tu as tout cassé ma fiche Callio, destructrice de l'humanité piment
Mais parce que je t'aime d'amûr pur et intense, je te pardonne calin

J'aurais aimé crier avec toi mais je n'ai plus de voix mais je suis ravie de voir l'effet qu'a eu mon inscription sur tes cordes vocales how
J'espère que tu crieras encore lorsque nous RProns ensemble nyuh

Je suis sûre que nous sommes neurologiquement connectées puisque, en effet, je viens de t'envoyer un message pour quémander des informations et surtout, recevoir encore plus de cris fire
Merci pour cette avalanche de gifs (tu gères aussi en micro avalanche de smileys owi ), je me disais justement que j'allais en chercher fesse

ET PUIS SURTOUT MERCI A TOI DE M AVOIR CREE, JE SUIS TA CHOSE Ulysse - The Ghost of You 1073627918 omg
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MessageSujet: Re: Ulysse - The Ghost of You   Ulysse - The Ghost of You I_icon_minitimeVen 17 Juil - 15:50

Ulysse B. Newton a écrit:
ET PUIS SURTOUT MERCI A TOI DE M AVOIR CRÉE, JE SUIS TA CHOSE Ulysse - The Ghost of You 1073627918 omg

Règle importante : ne JAMAIS me dire des choses comme ça perver

mdr tombe
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MessageSujet: Re: Ulysse - The Ghost of You   Ulysse - The Ghost of You I_icon_minitimeVen 17 Juil - 18:59

Trop taaaaard oyeah
J'avance bien, je vais sûrement éditer pour ajouter un peu plus de détails mais j'approche de la fin les coupaings owi
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MessageSujet: Re: Ulysse - The Ghost of You   Ulysse - The Ghost of You I_icon_minitimeVen 17 Juil - 19:06

My god, tu carbures tombe
Et bien j'aime ce dieu Miséricordieux piment

Evidemment qu'on se bavera dessus très cher rival, namého oyeah coeur03
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MessageSujet: Re: Ulysse - The Ghost of You   Ulysse - The Ghost of You I_icon_minitimeVen 17 Juil - 20:30

J'ai absorbé de l'essence hyper ultra méga efficace !
J'espère que je carburerai autant en RP mais vu la matière à exploiter et à modeler, ça risque d'être le cas oyeah

Je crois même que je vais développer un peu plus sur toi Silasou à la crème canard (s'il y a de la place parce que c'est qu'il y a à dire sur nous deux rale )
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Mary Fitzgerald
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MessageSujet: Re: Ulysse - The Ghost of You   Ulysse - The Ghost of You I_icon_minitimeVen 17 Juil - 23:05




Bienvenue au
Fitzgerald's Hotel
TU ES VALIDÉE !


J'ai adoré ta fiche, tu écris super bien et j'adore la manière dont tu vois Ulysse mimi
Bienvenue ici, j'espère que tu t'y sentiras bien piment coeur03


Tout d'abord, bienvenue à toi, puisque l'Envie t'a attirée jusqu'ici ! Nous t'avons attribuée la chambre n°203, et nous espérons que tu t'y sentiras à l'aise puisqu'elle sera tienne pour l'éternité. Maintenant que tu fais partie des clients de l'hôtel, n'hésite pas à venir rencontrer tes voisins pour leur demander des liens. Une fois cela fait, n'oublie pas de passer par les demandes de topics et commencer à converser avec les autres clients. Pense également à aller demander un job afin de payer ton loyer. Viens nous dire si tu souhaites que ton nom de famille soit doublé dans ce topic. Si tu as besoin de te faire parrainer pour mieux t'y retrouver sur le forum, c'est ici. Sache aussi que nous t'attendons dans le flood pour parler de tout et de rien !

Et si tu veux aider le forum à grandir, tu peux voter pour nous toutes les deux heures ici, puis poster dans notre sujet PRD et Bazzart.

Mais avant toute chose, amuses-toi bien ici ! Et surtout, fais bien attention aux personnes que tu rencontres. Pense toujours à inspecter ta chambre avant de t'endormir... Bon jeu ! coeur03

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MessageSujet: Re: Ulysse - The Ghost of You   Ulysse - The Ghost of You I_icon_minitimeSam 18 Juil - 10:27

Merci pour cette validation express et les compliments, j'étais contente de ce que j'avais écrit et maintenant je suis encore plus contente parce que je suis validée ! piment
J'ai hâte de découvrir l'hôtel mimi
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E. Athénaïs Carter
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MessageSujet: Re: Ulysse - The Ghost of You   Ulysse - The Ghost of You I_icon_minitimeSam 18 Juil - 11:25

T'es déjà enregistré et tout, mais bienvenue ici happy
Tu vas t'éclateeeeeeer oyeah
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MessageSujet: Re: Ulysse - The Ghost of You   Ulysse - The Ghost of You I_icon_minitimeDim 19 Juil - 16:58

Han Natalie Dormer mimi
Il faut que je te quémande un lien ... je te séquestre même s'il le faut piment

Merci coeur03
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MessageSujet: Re: Ulysse - The Ghost of You   Ulysse - The Ghost of You I_icon_minitime

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