Sujet: my first is hatred (Arthur) Ven 31 Juil - 10:44
my first is hatred.
(prévert) ▽ Et je suis là près d'eux, vivant encore un peu, tuant le temps de mon mal, tuant le temps de mon mieux.
Tommy. Thomas. Son fils. Loin d'être l'amour de sa vie, elle a cessé de le chercher depuis presque un an. Il a disparu, ou peut-être n'a-t-il jamais été là. Elle ne sait plus. Elle ne se rappelle de rien. Et puis elle s'en fiche, tout ça n'a plus d'importance après tout. Aujourd'hui elle rode, perdue dans sa petite routine quotidienne. Enfermée la plupart du temps dans sa chambre, à coudre des tas de choses pour Mary Fitzferald et les autres dames de l'hôtel. Les privilégiés. Les riches de la demeure. Celles qui n'ont pas besoin de trimer, de s'acharner. Celles qui vivent, même dans la mort.
C'est chez l'une de ces dames qu'elle travaille ce matin. Entourée de tableaux et de meubles élégants, les chambres du troisième, sont de loin les chambres les plus impressionnantes que la jolie brune n'ai jamais vu.
Enfin, le moment n'est pas venu de rêvasser. Cette vieille charpie du troisième fait encore des siennes. Madame a des états d'âme. Sa robe sertie de diamants ne lui sied plus comme dans sa jeunesse. Quel dommage. Une aiguille entre ses lèvres, elle enleva la robe de chambre de la mégère et lui enfila sa tenue. Hmm dessous sexy. En voilà une qui s'était faite harponner la veille. Amara attrapa son mètre et prit les mesures nécessaires à son travail, occultant cette vision d'horreur.
Porte qui claque. La brune n'y prêta aucune attention. Le gigolo de la veille venait visiblement de faire son entrée dans la pièce.
(c) AMIANTE
HRP:
Je suis désolée de la médiocrité de ce premier rp, j'essaierai de me rattraper par la suite. Aaah et petite précision ! Amara ne peut pas être entendue.
Marionnette innocente
Arthur Powell
PETITS PAPIERS :
142
CÉLÉBRITÉ :
grant gustin
COPYRIGHT :
heart attack
Sujet: Re: my first is hatred (Arthur) Mer 16 Sep - 16:48
My first is hatred Amara & Arthur••• Ses pensées sont brouillées, des vagues images de la veille lui reviennent, comme souvent depuis sont arrivées à l'hôtel il n'a pas passé la soirée d'hier seul. Il vient de se réveiller et se trouvait dans la salle de bain de la luxueuse chambrede sa partenaire d'hier soir. Eh oui, il avait emballé une de ces bourgeoises du troisième. Enfin pour être honnête, il n'était plus tout à fait sur si c'était elle ou lui qui était venue vers l'autre. De toute façon ça n'avait aucune importance pour Arthur. C'était arrivé. Tant qu'il n'avait pas passé la soirée seule dans sa chambre à se laisser aller à ses mauvaises habitudes. Ça ne pouvait être qu'une bonne chose non ? Mais son crâne, oh ça il a une belle gueule de bois. Il fait couler l'eau et s'asperge le visage avec de l'eau froide, rien de mieux pour se réveiller.
Celle-la est bien plus vieille que lui, c'est certain. Il ne se rappelle pas de son prénom, mais ça va lui revenir c'est sur.. ou plutôt il l'espère. S'il ne veut pas passer pour le dernier des abrutis. Il soupire et il sort de la pièce, il faut bien se lancer.
Elle est là, mais elle n'est pas seule. Il se rappelle vaguement, qu'elle lui avait parlé de retouche pour une de ses robes, peut-être même qu'elle avait pleuré à un moment, eh oui c'est toujours une épreuve difficile quand vous devenez trop vieille pour mettre une foutue robe. Ou un truc comme ça. Bref, il avait bien assez mal à la tête pour en rajouter. Le plan était bien établi dans sa tête, il allait lui dire qu'il avait passé une très bonne soirée en sa compagnie, mais que maintenant c'était l'heure pour lui d'y aller, qu'il avait des trucs à faire. Traduction, décuver dans sa chambre seule, sans avoir à écouter les histoires qu'elle avait à lui raconter.
Il en conclut que la fille qui lui prend ses mesures c'est la couturière. Ce beau visage inconnu pour lui. Alors qu'il a l'habitude d'observer chaque personne qu'il croise. Et un visage comme celui-là, il en est certain, il s'en serait rappelé. Finalement Arthur se dit qu'il va peut-être attendre un peu, avant de partir. Il s'assoit sur le lit en face d'elles. Madame la bourgeoise commence déjà à parler, il n'écoute que d'une oreille et encore, c'est pour être gentille. Elle le regarde et lui sourit, à croire qu'elle voudrait remettre ça. Mais Arthur ne l'écoute même plus. Il l'observe il ne peut pas détacher son regard d'elle. Celle qui en silence prend les mesures, elle ne le voit pas où elle l'ignore, allez savoir. Quand Arthur lui, ne peut pas détacher son regard d'elle. 2981 12289 0
Spoiler:
je suis vraiment désolé d'avoir pris autant de temps pour faire ça ...