Grant # I taste blood and I want more

Grant Bates

17 ans † envie † vivant † ft. Logan Lerman

Cette petite bouille que vous voyez-là c'est Grant Gustin. Ça fait déjà dix-sept ans que sa mère l'a mis au monde un 02 janvier 1993 à dans l’Illinois. Dans son entourage, on peut trouver une absence, une marre de sang, tous tués dans leurs sommeils. Plus qu'une personne, l'homme qui l'a laissé en vie, qui le traine comme un petit toutou. Dans sa famille, ils étaient plutôt de la classe aisée, un enfant roi à qui on ne disait jamais non. Mais un jour, il est arrivé à l'hôtel depuis quelques semaines à son bras, en pleine nuit, portant ses valises, les chaussures encore couvertes de sang et depuis, on peut le croiser vivant. Aussi, quelques personnes ont remarqué sa particularité, vous savez cette capacité qu'il souffre du syndrome de Stockholm, victime qui ne vit que par l'aura de son bourreau. Amour dégueulasse et suintante. Sexe décomplexé et pervers. L'autre jour, on lui a parlé de la mort et il a tout simplement dit : Que si elle porte son visage, alors qu'elle vienne le prendre ici et maintenant.

Caractère

Comment définir un caractère quand un psychisme a été violenté, arraché à l'enfance et jeté en pâture aux cerbères de l'enfer ? Il y a donc un avant et un après, lui - toujours lui. Grant était avant un jeune homme tout à fait banal. Dans une pièce, il pouvait tout à fait se montrer invisible. Il était ni un garçon à problème, ni d'une très grande éloquence. Il savait se taire pour laisser parler les autres. Curieux, c'est certain, toujours une question au bord des lèvres. Cependant, à côté de cela, aucun mot plus haut que l'autre. Une crise d'adolescence tout en douceur. Aucune maltraitance à l'école. Une mère aimante, un père présent et aucun oncle ou autre venu se glisser la nuit dans son lit. Aucun traumatisme. Un enfant sage qui n'a jamais sifflé une bière en cachette, fumer de l'herbe ou mater les copines de ses sœurs sous les douches. Une vie bien ordinaire en somme. Puis, l'après, Grant se complet à présent dans le morbide. Quel plus beau spectacle pour lui de le voir découper des corps. Il ne fait rien. Il ne fait que regarder, parfois de loin, parfois au plus prêt de lui. Son estomac doit encore se faire à ces épreuves et vomir à ses pieds c'est la dernière chose qu'il voudrait. Le sadisme s'est tatoué sur ses avant-bras. Il aime voir ces victimes implorer sa pitié, ces larmes, entendre ces cris. Il en est devenu gourmand. Il en veut toujours plus. Provoquant lui-même le sort en parlant à un policier, attisant sa jalousie et son contrôle de toute chose. Oui, il est devenu manipulateur et il n'y plus rien de sage dans son regard. Il y a quelque chose d'ancien, embourbé dans la crasse et l'huile, de malsain et de pervers. Car, les cloches de ses dix-sept printemps ont bien sonnés. Les hormones jaillissent comme du sang d'une artère sectionné. Les draps de son lit seront salis, encore et encore jusqu'à qu'il est des cloques sous les doigts. Voici son portrait, sans concession. Le portrait de Grant Bates. 

Raconte-nous ta life

Alors moi c'est, he@rtbreaker, non c'est pas mon nom, mais vous vous en doutez. J'ai l'âge d'un Tardis. Suis-je une fille ou un garçon. On va dire une fille, dans un cerveau de mec. Oui, il se passe des drôles de choses dans ma tête : glauque et perverse. J'avais remarqué le forum depuis longtemps. Je suis une grande fan de AHS J'ai loupé aucune des 4 saisons. J'ai longtemps hésité à m'inscrire car j'attendais un scénario, mais rien qui me convenait et surtout j'attendais, the idea, alors je sais pas si mon Grant sera jouable, car il faut dire que faire des gamins cela m'a jamais porté chance. Surtout, là, je fais du glauque. J'ai mis quelques semaines pour l'arrivée, mais je changerais surement si on me propose des liens. Oui, si mon perso vous inspire, j'aime savoir que je vais pas finir seule et vieille fille. Je cherche des liens !  J'espère que je vais me plaire ici, je pense passer, 3j sur 7j. Pour le reste, vous n'avez qu'à demander.

Mon Histoire

I taste blood and I want more

Grant devait remonter dans les lignes fluctuantes de son passé pour se rappeler de sa vie d'avant. S'ancrer dans un souvenir puissant et le premier qui lui revenait en mémoire, c'était le perron de son enfance. Celui sur lequel il aimait se poser avec ses livres de cours et une orangeade fraichement pressée. Sa vie ressemblait assez à ces gouttelettes d'humidité qui coulaient le long de son verre. Une vie tranquille et douce. Ses parents s'aimaient et n'arrêtaient pas un jour de le rappeler. Ses deux grands frères et sa sœur étaient des anges. Grant comptait leurs preuves débordantes d'amour et d'affection. Il en était reconnaissant, comme ce voisinage aux sourires étincelants et aux tartes laissées sur le bord des fenêtres. Sa ville dégoulinait d'un bonheur presque trop beau pour être vrai et pourtant c'était sa vie.

L'école fut le champ de mines qui ne l'a jamais blessé. Comment cela aurait été possible ? Il était invisible. Il n'était ni la tête de turc, ni le champion de l'équipe de La Crosse. Grant était un élève moyen qui arrivait à disparaître dans une pièce s'il arrêtait de parler. Pourtant, il participait en classe et participait au match de La Crosse tous les week-ends. Grant n'a jamais connu les humiliations du champ de maïs où les corps des jeunes garçons étaient dénudés. Cependant, il n'a pas connu les fête improvisés dans la forêt. Il n'a jamais sifflé sa première bière. Il ne s'est jamais enivré. Il n'a jamais bécoté une cheerleader éméchée qui aurait offert plus que de raison dans l'herbe folle.  

Oui, sur son perron, Grant ne pouvait s'empêcher d'avoir ce sentiment qui étreignait sa gorge. Cette vie déjà tracée pour lui. Il terminerait ses études et finirait par travailler dans la banque de son père. Il épouserait sa meilleure amie, celle qu'il connaissait depuis l'époque des culottes courtes et des jeux du Docteur caché dans sa cabane. Plus, il y réfléchissait, plus cette vie avait un goût d'inachevée. Comme cette série qu'il regardait chaque année avec son père en rediffusion sur le câble. Cette série de David Lynch que son père admirait tant. Twin peaks . Voilà, c'était exactement, cela, Grant avait l'impression d'être enfermé dans cette ville aux traveling longs, aux plongés abyssales et aux silences bien trop pesant. Mais, tout changea l'année de ses dix-sept ans quand un nouveau voisin posa ses bagages dans son quartier.

Le premier souvenir que Grant eu de lui, ce fut cette nuit furieusement chaude et éprouvante. Le jeune garçon était sur son perron comme à son habitude et un chien se fit percuter par un chauffard devant la maison du nouveau venu. Grant vit sortir cet homme qui se pencha au-dessus de l'animal. Il le regarda le caresser avec une douceur qui annonçait déjà une fin inévitable. Le garçon resta hypnotisé par la scène jusqu'à qu'il brise la nuque de l'animal d'un coup sec. Leurs regards se croisèrent et le jeune Bates n'offrit aucun dégout. Il regarda l'homme disparaître dans les ombres de cette nuit sans lune.

Puis, des personnes commencèrent à disparaître dans les environs. Dans cette ville où il se passait rien, le journal local en fit couler de l'encre. Grant de sa chambre, se caressant les lèvres, perça en plein cœur l'étranger qui rentrait si tard que tout le quartier dormait à point fermé. Parfois, à sa fenêtre, dans le noir absolu, il essayait de  voir ce qu'il se passait derrière ses rideaux à plus de trois-heures du matin. Dans une sorte de transe malsaine, il devait en savoir plus. Il proposa donc ses services pour tondre sa pelouse, grappillant quelques échanges et une citronnade à la fin des travaux dans sa cuisine.

En quelques mois, il devint son gouteur. Son voisin était un cuisinier d'exception. Grant n'arrêta pas son obsession, loin de là, il vola - ou emprunta, il préfère le terme - des objets ici et là appartenant à son voisin. Il tapissa ses placards - pour ne pas alerter ses parents - des coupures de presse du mystérieux tueur qui sévissait dans la région. Le jeune garçon pensait faire attention, mais le monstre de l'autre côté de sa rue, avait compris depuis bien longtemps que son jeune voisin en savait trop. Pourquoi, avait-il attendu si longtemps ? Est-ce que c'était un jeu ?

Grant n'eut jamais la réponse car un soir alors qu'il rentrait tard de son entraiment de La Crosse. Il trouva sa famille baignant dans leurs propre sangs et il se tenait là derrière la porte. Il l’attendait. Un énorme couteau de cuisine qu'il approcha de sa jeune petite gorge. Grant le regarda dans les yeux, sans une once de peur, comme si cette mort il l'attendait. Qu'il l'avait couvé pendant dix-sept ans, attendant ce moment précisément pour être enfin délivré.

Mais, à la place une seringue épidermique se planta dans sa nuque et il sombra dans un sommeil sans rêve. Des jours difficiles s'en suivirent, mais le jeune Bates ne s'en rappelle plus. Quand il relit le journal qu'il noircit chaque jour, il ne parle pas de kidnapping. Il ne parle de l'horreur de vivre avec un homme qui menace sa vie à chaque instants s'il tente de s'échapper ou de parler à quelqu'un. Un homme qui tue ses victimes, pour en tirer les meilleurs mets pour les servir en plats exquis. Des plats qu'ils savourent sans sourciller, qu'il commente et qu'il critique.

Pourquoi, l'a t-il laissé en vie ? Est-ce qu'il lui apporte cette image d'un fils qu'il n'a jamais eu ? D'un compagnon de route ? Car, le jeune Bates voue une admiration sans borne à cet homme. Plus encore. Il l'aime de façon sale et suintante. Pourtant, cet homme n'a jamais posé sa main sur lui. Cet homme semble uniquement ce nourrir de cette admiration. Il aime le faire observer. Il tue en sa compagnie, mais se refuse à le faire participer. Le jeune garçon n'aurait pas l'estomac encore. Alors, les voilà, sur les routes : emménageant, déménageant. Il semble avoir fait cela toute sa vie.

Et, les voilà, posant leurs valises depuis quelques semaines au Fitzgerald's Hotel. Ce n'est qu'un point de passage d'après ces dires. Il doit faire un travail, se faire un peu d'argent et repartir sur les routes. Il le laisse des journées entière tout seul. Il pourrait s'enfuir, mais non, il arpente les couloirs de cet hôtel. Cette curiosité mal placée aux bords des lèvres. Il noircit les pages de son journal.

      

Bienvenue au Fitzgerald's Hotel

TU ES VALIDÉ

On sent bien ton caractère Fannibal et une petite pointe de "Je ne suis pas un sériel killer" aussi Quoiqu'il en soit c'est une chouette plume que tu as là, je te valide !

Tout d'abord, bienvenue à toi ! Puisque l'Envie t'a attiré jusqu'ici. Nous t'avons attribué la chambre n°222. Nous espérons que tu t'y sentiras à l'aise - puisqu'elle sera tienne pour l'éternité. Désormais, tu fais partie des clients de l'hôtel, n'hésites pas à venir rencontrer tes voisins ici afin de leur demander des liens. Une fois cela fait, n'oublies pas de passer ici pour que tes voisins puissent te demander des topics. Ensuite, penses à passer dans dans cette partie-là afin de demander un job pour payer ta chambre pour l'éternité, si tu le souhaites. Tu peux demander à te faire parrainer dans dans cette partie. Pour finir, n'hésites pas à venir nous dire si tu souhaites que ton nom de famille soit doublé dans cette partie.


N'hésites pas à voter pour nous toutes les deux heures dans cette partie-là et à poster dans notre sujet PRD ici. Mais saches que nous t'attendons ici pour parler de tout et de rien.

Mais avant toute chose... Amuses-toi bien ici, et surtout, fais attention aux personnes que tu rencontres, et inspecte toujours ta chambre avant de t'endormir. Bon jeu !