SAUL ☼ Mes larmes fleuriront les sols brûlants de l'enfer

Saul Rosalie Phoenix

22 ans † Avarice † vivante † ft. Iggy Azalea

Cette petite bouille que vous voyez là c'est Saul Rosalie Phoenix. Ca fait déjà 22 années que sa putain mère l'a mis au monde un 1er Janvier. Dans son entourage, on peut trouver des colocs aimés et détestés (HEIN ANGE). Dans sa famille, ils étaient plutôt de la classe très riche. Mais un jour, elle est arrivé(e) à l'hôtel à Halloween et depuis, on peut la croiser vivante. L'autre jour, on lui a parlé de la mort et elle a tout simplement dit : "Elle m'a dans un sens, sauvé. Mais elle s'est incrustée dans mes veines, et attend le moment propice pour répandre son produit mortel"

Caractère

PARANOÏAQUE : Avec le temps, elle s'est installée. A force de vivre dans le sacrifice, sous des ordres et des contraintes, j'ai du me protéger. Je n'aurai jamais soupçonné que mes parents puissent faire ce qu'ils m'ont fait. Je savais leur amour inexistant pour moi, je savais leur égoïsme et leur folie. Mais je ne les pensais pas si dénué d'humanité. Depuis, j'ai beau me contrôler, mais cela ne fait rien. Je vois le mal partout, et suis incapable de me sentir en sécurité. Il faut aussi avouer que cet hôtel n'aide pas.
MEFIANTE : C'est toujours la même chose. Il a fallut que j'apprenne à qui je pouvais faire confiance. Je n'ai jamais eut d'amis, je n'ai jamais su à qui je pouvais accorder ma confiance. Je n'ai eut que mes parents, que des journaux, que de stupides connaissances qui ne voulaient de moi que ma célébrité.
TACITURNE : Garder le silence est aussi une protection. Je ne sais pas exprimer mes sentiments, dire ce que je ressens ou ce que je pense. Je n'ai jamais eut l'attention de mes parents. Je ne sais pas ce que c'est de parler de ce qui me blesse, me peine ou me travaille. Non je ne sais pas. Alors je garde le silence.
INTROVERTIE : On a beau croire. Être exposée aux médias à longueur de journée, ça peut aussi pousser une personne à se refermer sur elle-même. J'ai surtout honte de mon nom, de mon passé. J'ai honte de moi même, et de pourquoi j'ai été créé.
COURAGEUSE : J'ai surmonté tant d'épreuves, tant de crasses que d'autres n'auraient pas supporté. Je continue de me battre parce que je pense que l'espoir est toujours bon à prendre. C'est ce qui nous fait vivre.
VIOLENTE : Mes pulsions prennent souvent et rapidement le dessus sur ma raison. Je ne sais pas me contrôler, et je peux ainsi devenir très violente.
INTELLIGENTE : La chose que mes parents ne possédaient pas.
BRISEE : Pas de famille. Pas d'amour. Pas de véritable mère. Ni de véritable père. Pas d'enfance. Pas d'amis. Bref, pas de vie normale.
ASOCIALE : Pas étonnant après tant d'année forcée à devoir être le type de personne que je ne supporte pas, et surtout, que je ne suis pas.
EN COLERE : Contre le monde, contre la vie, contre tout le monde.
HONNÊTE : J'ai cessé de prétendre être ce que je ne suis pas depuis déjà quelques temps. Et depuis, j'ai décidé de toujours être moi-même : de toujours être honnête.
DROITE : Plus rien ne peut m'influencer, me faire perdre pied.
LOYALE : Je ne supporte pas la trahison, le mensonge, et toutes ces choses qui détruisent les gens.
GENEREUSE : Je suis riche, très riche, et donner c'est aider.
RESPONSABLE : Je me suis éduquée seule. Je me suis appris seules le bonnes valeurs.
CYNIQUE : Je possède une vision très noire du monde dans lequel je vis, et je n'hésite pas à en rire, je n'hésite pas à l'affronter. Je n'ai peur de rien, ni de personne, et encore moins de cet enfer dans lequel nous vivons.

Raconte-nous ta life

Vous me connaissez, même très bien pour certains. Parfois, je me balade sous les traits d'un grand brun muet, qui prend sa guitare pour extérioriser ses peines. Et d'autres fois, je revêtis le costume d'une petite brune pleine d'énergie, croisement entre le hippisme et l'anarchisme, qu'on ne trouve jamais sans un joint à la main.
Sinon, j'aime toujours ce forum, son staff, son histoire et surtout... SES MEMBRES ! Sinon, je veux toujours devenir réalisatrice, j'aime toujours autant regarder des films et des séries (Lynch, Gus Van Sant, Lubitsch, Larry Clark, Frères Coen, Abdellatif Kechiche ) / (Got, AHS, TWD, Breaking bad, Grey's Anatomy, etc...) et j'aime toujours autant écrire
Comme quoi, vous voyez, je change facilement de tête, mais je reste toujours la même

Et parce que certains ont flippé à la vue des hanches divines de ma Iggy, je vous laisse la réaction de notre très cher ALOYSIUS qui va se manger des kicks de popotins très rapidement.:

Mon Histoire

Et le Phoenix renaitra de ses cendres

Cher journal,
J'en ai assez de cette vie. Ma mère m'oblige à porter des talons, et à me maquiller. Elle m'a acheté un chihuahua. UN PUTAIN DE CHIHUAHUA. Il est con, pisse partout et me lèche sans arrêt. Je lui ai toujours dit que je voulais un Bouledogue Français, et voilà qu'elle me ramène cette horreur qui ne fait que dormir, chier et pleurnicher. Elle l'a appelé Princesse, et le pauvre animal porte des vêtements en fourrure. J'ai pitié pour lui, pauvre animal. Je suis entrée au collège hier. Je ne me suis pas fait d'amis. Tous m'ont regardé avec dégoût et haine. En rentrant, j'ai voulu raconter ma journée à mes parents. Je leur ai dis que nous avions parlé d'écrivains de la Beat Generation et que j'étais allée emprunter des livres à la bibliothèque. Elle les a mit à la poubelle et ne m'a même pas donné de chèque pour que je les rembourse. Au lieu de ça, elle a dit à notre domestique Agrippina de me préparer pour l'émission. Elle a fait son cirque, en hurlant parce que notre domestique n'avait pas acheté le bon sirop de soja. Elle a raconté, à l'antenne, que j'avais fait la rencontre d'un garçon à l'école, et que j'avais perdu ma virginité. Elle en a rit et s'est moqué de mon corps sans forme. Venant d'elle et de sa silhouette passée sous bistouri, cela m'a bien fait rire. Et énervée, elle m'a balancé la laisse du chien et m'a ordonné d'aller le promener. Je me suis exécutée. Dis moi, journal, Est-ce que c'est une vie pour une fille de onze ans? Je dois te laisser, nous avons une soirée mondaine ce soir (mondaine est un grand mot pour des débauchés).

Cher journal,
Agrippina m'a raconté la vérité. Je sais maintenant que mes parents ne s'aiment pas et qu'ils ne se sont jamais aimés. Je sais aussi que je suis née car leur manager leur a dit que cela ferait bien pour l'émission. Je comprends pourquoi ils ne m'aiment pas. J'ai piqué une crise et bien sûr, les camera mans se sont empressés de tout filmer. Mes parents m'ont insulté, et humilié. J'ai lancé un vase, que mon père a évité de justesse. Agrippina est venue me prendre la main pour m'emmener à l'écart. Elle m'a embrassé sur le front et a quitté ma chambre. Lorsqu'elle est revenue, elle avait avec elle un chiot : un bouledogue Français. J'ai embrassé notre domestique qui était bien plus cela pour moi, et l'ai laissé retourner à ses tâches. Mais le pire est à venir. Je suis retournée voir mes parents. Je leur ai dis que je ne voulais plus vivre avec eux, que je voulais vivre avec Agrippina. Que j'en avais assez de m'habiller comme une pétasse et d'être détestée de tous. Ils m'ont menacé de me couper les vivres et de me renier si je ne prenais pas au sérieux mon image. Alors je n'ai rien répondu. Et je suis retournée dans ma chambre. Je ne pouvais pas imposer à Agrippina de s'occuper d'une gamine de quinze ans. Elle était déjà assez pauvre et assez occupée avec ses trois enfants pour cela. J'étais désormais piégée, je n'avais aucun avenir, car ils m'empêchait de bien travailler. Je devais vivre à leur dépend.

Cher journal,
Je suis dans la merde. Nous avons découvert aujourd'hui que l'audience m'appréciait. Ils m'ont vu donner de l'argent aux pauvres. Mes parents ont piqué une crise et sont devenus verts de jalousie. Je ne sais pas ce que je vais devenir, mais je sens que le pire est à venir.
J'ai déjà préparé mes valises, au cas où.

Cher journal,
Je suis en prison. Je n'en reviens pas qu'ils aient pu me faire cela. Ils ont commis des vols à main armée et m'ont accusé. Ils avaient tout préparé. L'avocat m'a dit que je devrais m'en sortir, tout d'abord parce que je n'avais pas de casier, mais aussi parce que tout le monde connaissait l'histoire de la famille Phoenix : la fille de dix-huit ans condamnée à se montrer superficielle et idiote, et les parents vaniteux et égoïstes. Je croise les doigts. J'espère m'en sortir. Et si cela se produit, je quitterai Los Angeles. Pour de bon.

Cher journal,
Me voilà sortit. Mes valises sont prêtes. Je m'en vais dire au revoir à Agrippina, et je quitte la ville.

Cher journal,
C'est un cauchemar, un réel cauchemar. Me voilà orpheline et fugitive. Mes parents ont mit le feu à notre maison et se sont immolés. Ils voulaient sortir par la grande porte. Et le pire dans tout cela, c'est que j'ai été accusée d'avoir commis ce double homicide. Je suis quelque part au Texas, je vais prendre l'avion, je ne sais pas pour où, mais je dois m'enfuir.

Cher journal,
Les choses vont mieux. J'ai rencontré des gens. Nous avons décidé d'habiter en colocation. Ils ont un peu près mon âge. J'ai voulu m'inscrire à la fac, mais je ne pouvais pas, je dois rester cachée. Ils ne savent pas qui je suis, mais ont compris que je ne voulais pas qu'on sache mon existence. Je leur fais croire que je suis agoraphobe. Comme ça ils me laissent tranquille. Le seul soucis, ce sont les tensions qu'il y a entre Ange et moi. J'entretiens depuis peu une relation avec un de mes colocs dont Ange est amoureuse. Et moi aussi je l'aime. Alors la bonne humeur n'est pas toujours là.

Cher journal,
On s'est lancé le défi de se rendre dans cet hôtel, à Halloween. On a entendu dire qu'il était hanté et que personne n'en ressortait jamais, sauf à Halloween. On a donc voulu s'y rendre. On fait nos bagages. On part ce soir. Je suis pressée!

Cher journal,
Je suis coincée pour l'éternité dans cet hôtel. On l'est tous. On pensait qu'on en sortirait, mais non. Quiconque y met les pieds se voit happé par la magie de cet hôtel lorsque minuit sonne. On s'est fait avoir.