Il paraît que je ne suis pas très net dans ma tête. Soit disant ce besoin insatiable non pas d'être aimé, mais d'être indispensable. Je dois être pour les autres le centre de leur vie. C'est du moins ce qu'à dit le psychologue à mes parents quand j'étais enfant, je me souviens parfaitement de ses mots, car ce fut une sorte de déclic. La boîte de Pandore venait de s'ouvrir. Jusqu'à ce jour j'étais inconsciente du potentiel en moi, j'étais une petite fille douce, charmante, rieuse et que l'on peut considérer comme intelligente. Bien que cette intelligence est à mes yeux plus une certaine curiosité et une avidité de lire tout ce qui me tombe sous la main que véritablement l'intelligence. Soyons franc, je ne suis pas Marie Curie et je ne le serai jamais. Pour en revenir à ce jour où la boîte de Pandore c'est ouverte, j'ai donc eut ce... déclic. Jusqu'à ce jour je ne comprenais pas qu'il y avait une sorte de vide en moi, quelque chose à combler. Je considérais cela comme un simple besoin d'affection et que l'on s'occupe de moi. Mes parents me voyaient comme une enfant un peu trop capricieuse, voilà tout. Pourtant non, ce n'était pas cela, mon besoin, c'est d'être indispensable aux autres. Comme si sans ça je ne pouvais pas trouver ma place dans la société.
Un manque de confiance en moi ? Très probablement. Du moins au début, peut-être qui persiste toujours, mais je préfère l'ignorer derrière des faux-semblants. Je mens aux autres, mais surtout je me mens à moi-même, il faut bien que je l'avoue. Vous pensez que l'amour est la solution à mes problèmes ? Que nenni, j'ai été fiancée, puis mariée. Je n'ai connu qu'un seul homme dans ma vie, mais il n'arrivait pas à me combler suffisamment. Pourtant il m'aimait, il était un bon partit et comme tout homme qui se respect il m'a fait la cour et j'ai accepté, plus par nécessité de me marier, que par réel amour. Je ne crois pas que je suis tombée amoureuse de lui, à vrai dire je crois que je suis incapable d'aimer, sinon je n'aurais pas laissé mon enfant aux mains des nourrices. Qu'est-elle devenue d'ailleurs ? Je ne sais.
A l'hôtel rares sont ceux qui ont le privilège de savoir qui je suis vraiment, pour beaucoup j'apparais comme la gentille bibliothécaire, toujours un sourire sur les lèvres, toujours prête à cacher un corps ou offrir une épaule sur laquelle pleurer. On me considère comme effacée, mais présente. Je suis là, sans vraiment être là. Mes victimes m'aiment, elles m'adorent même, elles se laissent empoisonner par mes mots et mon venin fait de moi leur divinité. On n'a pas encore élevé de culte à ma personne, mais quand la personne considère que sans moi, elle n'a plus qu'à se donner la mort. Je la quitte. Non pas par cruauté, mais simplement parce que j'ai atteint mon but et qu'il est temps de passer à quelqu'un d'autre.
Bien entendu cela amène certains au suicide, est-ce que j'ai des regrets ? Pas vraiment, je considère cela comme un hommage à ma personne. Un membre de la famille d'une des mes anciennes victimes m'a considérée comme étant menteuse, vénale et surtout une salope manipulatrice. Je m'accorde sur les termes menteuse, vénale et manipulatrice, mais pas salope. Ne tombons pas dans la vulgarité je vous prie. Je ne suis pas parfaite, mais je le sais. Ceux qui se considèrent comme tel sont soit des idiots, soit des menteurs.
Carte d'identité:
Nom :
Riddel
Prénoms :
Nympadora
Date de naissance :
Répondre ici.
Age :
26 ans, en apparence. En réalité ? 120 ans.
Groupe :
Troisième étage
Mort ou vivant :
Morte
A l'hôtel depuis :
31 octobre 1920
Job :
Bibliothécaire
Comment êtes vous arrivé à l'hôtel ?
Sur demande de la famille d'une de mes victimes qui s'est suicidée dans cet hôtel. Je devais rentrer en contact avec la victile.
Votre relation à la mort :
Ma mort est une injustice flagrante, on meurt toujours tous un jour, mais assassinée ? Au début je me lamentais de mon sort, j'errais ici et là. C'est ce que je fais toujours un peu à vrai dire. Je n'ai jamais cru au paradis ou à l'enfer, encore moi à purgatoire. Je tente de mener ma mort, comme j'ai mené ma vie. Que faire d'autre de toute manière ? Me lamenter ? Très peu pour moi ? Tomber dans l'excès ? Je vous en prie, je suis une dame du monde.
Particularité :
Le croque-mitaine
Ancien lieu d'habitation :
New York
Situation familiale :
Veuve.
Anecdotes & faits divers:
Anecdotes
J'étais une célébrité.
Avant ma mort j'étais une célébrité dans le domaine des mediums. J'étais incontestablement la meilleure, les journaux parlaient de moi et tous avaient mon nom à la bouche. Du moins c'est ce que j'aurais aimé. La réalité était que c'était des journaux intimes qui parlaient de moi et le tous, c'était... et bien, c'était uniquement le petit cercle très fermé des gens du milieux. De ceux qui fréquentaient les médiums. Je n'ai jamais cru à cela. La vie après la mort et toute ces calembredaines. J'y ais vu par contre un marché des plus intéressants que j'ai su exploiter. Le désespoir des autres... Il n'y a rien de plus vendeur.
J'aime les gâteaux.
Que ce soit dans cette vie ou la précédente, j'aime les gâteaux. Si par le passé je devais me contenir, maintenant je n'en ais plus besoin. Je ne vieillit pas, je ne grossis pas. Le pied non ? Cependant, cela fait que j'ai une relation très étrange avec les gâteaux. Si je vois quelqu'un en manger un, j'en veux aussi. Je veux que la personne me donne un bout de son gâteau et si elle ne le fait pas ? Je fais en sorte qu'elle soit dégoûté des gâteaux à jamais.
Cache-cache avec des corps.
Cela fait un moment que je vis dans cet hôtel, un peu plus d'un siècle pour tout dire. Je connais bien donc leur manie de tuer des gens et la nécessité de cacher des corps. Au point que je suis devenue une spécialiste pour ça. Après tout, quand on est coincé pour l'éternité, il faut bien s'entraider. Bon parfois, il faut bien avouer que les cadavres, il y en a beaucoup... Les gens ne peuvent pas je sais pas moi... Brûler comme cette femme, Curtis ? Je l'aime bien, ce jour là le cadavre n'était guère encombrant. Il pourrait plonger aussi dans une baignoire d'acide ou bien offrir leur corps à des cannibales. Vraiment, ceci est un appel à vous tous : les trous c'est pas pratique à creuser et les corps, c'est quand même lourd à porter.
Je connais le monde à travers les livres.
Le monde, je le connais très bien, mais à travers les livres. Par chance, Madame Fitzgerald sait très bien fournir sa bibliothèque et régulièrement nous avons de nouveaux arrivages en tout genre. Si je ne sors donc jamais, je peux découvrir le monde et son évolution à travers les livres, c'est passionnant. Une fois que je me sens prête, je discute avec les clients venant d'arriver. Leur demandant leur avis sur tel ou tel objet. Parfois, j'ai même la chance d'en voir un de prêt. C'est fantastique !
Je vole des vêtements aux morts.
Quand je suis arrivée, ma valise n'était guère pleine et surtout avait des vêtements des années 20. Vous pensez sincèrement que je m'habille comme à mon époque ? Non. J'ai donc pris l'habitude de voler les vêtements aux morts pour pouvoir m'habiller comme je l'entends. Parfois aussi aux vivants, moins souvent, mais cela m'arrive. Je ne vole pas toutes leur garde robe, mais un haut ici, une jupe là. Rapidement, je me suis constituée une magnifique garde de robe.
A propos de moi:
Alors moi c'est Bérénice, 20 ans, bientôt 21 ans. Je suis administratrice sur un fo HP, rédactrice sur un blog rpg et enfin critique littéraire sur un site de critique de romans ! Que dire d'autre, je suis en recherche d'emplois et voilà ♥
Une medium qui ne croyait pas à la vie après la mort
Aime-moi, désire-moi, vénère-moi
En apparence, j'étais une fillette normale du dix-neuvième siècle. Je suis née à l’hôpital, mes parents avaient ce luxe. J'étais peut-être même une petite fille normal tout court, pas seulement en apparence. Seulement, ma mère avait une passion. Avait, elle est décédée à ce jour. Rassurez-vous, ce n'est pas moi qui l'ait tuée. Je disais donc qu'elle avait une passion : Sigmund Freud. Même si elle a toujours refusé de l'avouer, il était son Dieu. C'était une bonne protestante, elle allait à l'Eglise tous les dimanches, mais plus parce qu'il le fallait que pour une véritable croyance. Ma naissance fut donc pour elle l'occasion de me psychanalyser. Le moindre de mes faits, le moindre de mes gestes étaient analysés par sa personne. Dés que j’eus le don de la parole intelligible elle entreprit de me questionner. Mes questions étaient celles d'une enfant normal. Du moins je le suppose, mais ma mère se mit à les analyser. Et puis ma petite sœur est née, une chose normale dans la vie, mais moi qui était le centre d'attention de ma mère fut relégué au second plan. Un nouveau sujet, quoi de mieux pour elle ? J'avais quatre ans, plus d’intérêt à ses yeux.
Je me mis donc tout naturellement à réclamer l'attention que je n'avais plus. Pour ma mère ce n'était pas normal quand à mon père et bien... Il suivait ses désirs concernant mon éducation et celui de ma sœur. Il travaillait, ramener l'argent et elle, elle s'occupait d'être une bonne maîtresse de maison tout simplement. Je ne sais trop si c'était une bonne idée, ni même si le psychologue était doué, mais ce jour là je compris tout simplement que pour avoir l'attention des autres. Je dois me rendre indispensable aux autres pour qu'on s'occupe de moi. Je crois que c'était l'inverse, ma mère était indispensable pour moi et j'avais donc besoin à tout prix d'elle. Quoi qu'il en soit, ce jour-là, j'ai donné un sens à ma vie. Ou du moins, ce qui deviendra plus tard le sens à ma vie. A l'époque ce n'était qu'un but à atteindre. Cela semble confus. Cela l'est pour moi-même. J'étais trop jeune encore.
Le reste de mon enfance jusqu'à l'âge adulte est sans intérêt. J'ai suivis la vie d'une jeune femme normal. Des études, des amis, un vide à combler et surtout cette recherche à devenir indispensables. Je le cherchais. Sans cesse, mais je n'y arrivais pas. Je ne savais pas quoi faire pour être vraiment... indispensable.
New york, New york
Mon but dans la vie était donc d'être indispensable, mais comment le faire ? Je n'y arrivai pas. Ma vie adulte est arrivée à grand pas et je n'avais pas atteint ce but. Je commençais à envisager le suicide comme une solution pour attirer l'attention sur moi. Cependant j'aime la vie, bien trop pour me laisser aller aux affres de la mort. J'ai cru le trouver par l'amour. Un américain qui rendait visite à sa famille, la parfaite occasion pour mes parents de me marier. Bien que ce n'était déjà plus l'époque des mariages arrangés, il fallait que j'épouse à tout prix quelqu'un. Je ne l'aimais pas, je ne l'ai jamais aimé à vrai dire. Pourtant j'ai joué le jeu, parce que je lui plaisais, parce que je voyais que quand j'étais là j'étais son centre d’intérêt, que j'étais même la seule chose qui lui importait. Je n'étais pas amoureuse, mais cela me comblait suffisamment pour être heureuse. On se maria assez rapidement. Il m'appréciait, j'étais satisfaite de lui. Nous nous accordions parfaitement. Pour lui j'ai quitté mon pays et je suis partit aux Etats-Unis avec lui. Malheureusement, rapidement l'amour et la satisfaction d'être le centre de sa vie disparurent. Une fois l'amour passé, il ne reste plus que l'habitude. Il voulait avoir des enfants, je me plia à son désire uniquement pour pouvoir garder son intérêt, mais je n'éprouva aucun amour pour les enfants que j’eus. A vrai dire j'étais même jalouse de ces derniers, car ils m'aimaient, mais je n'étais pas indispensable, je n'étais pas la seule indispensable pour eux. J'ai eut trois enfants, deux jumelles Giverna et Astrid et un petit garçon du nom de Sirius. Je m'occupais d'eux, j'éprouvais une sorte d'amour pour eux, mais je n'arrivais pas à agir comme une vraie mère avec eux...
Jusqu'à ce qu'Astrid perde la vie. Un tragique accident comme il y en a parfois. Elle a été fauchée par une voiture. Ce jour-là, elle est devenue mon enfant préférée, parce qu'elle a changé ma vie. Bien entendu j'étais bouleversée, j'ai pris conscience à cet instant que je tenais à elle. Elle est tout pour moi, même encore aujourd'hui. J'en ais délaissé mes autres enfants. On ne m'en voulait pas, on disait que j'étais traumatisée. Ce fut ainsi qu'une amie me fit faire la connaissance d'un medium. Je pris rapidement conscience qu'il utiliser ma peine et mon désespoir, mais je rentra dans son jeu pour comprendre comment il faisait pour agir. J'ai découvert que je devais devenir medium moi aussi.
Medium
On ne devient pas une medium connue en claquant des doigts. J'ai dû faire de nombreux sacrifices et plusieurs fois mon mari menaça de divorcer. Je me dévouais corps et âme dans mon métier, à être la meilleure. Seule l'idée que nos enfants pourraient souffrir d'un divorce empêcha mon maris de demander le divorce. Le temps passant, je suis devenue la meilleure. On me connut dans le milieux et je devins indispensable à bien des personnes. Cependant je découvris qu'une fois que j'avais atteint mon but et bien... Le vide de nouveau était de de retour en moi. Je découvris qu'il me fallait une autre personne et tout retrouver. Certaines sont mortes, ne supportant pas l'idée que je les abandonne. L'une d'entre elle perdit d'ailleurs la vie à ce fameux hôtel. Sa famille me demanda de prendre contacte avec mon ancienne victime dans l'hôtel. Je n'ai jamais cru à la vie après la mort et pourtant, j'aurais dû. Je suis morte, mon ancienne victime demanda mon assassinat. Je vis mon corps se faire enterrer, je crois que je marqua les esprits, car je critiquais la manière dont il agissait. J'aurais aimé qu'ils fassent un peu plus attention à mon corps !
Voilà donc comment je suis devenue une résidente pour l'éternité en ce lieu. Cela ne me dérange pas tant que ça, je m'y plais. Je joue les bibliothécaire pour garder mon petit confort et si je ne peux plus jouer les mediums malheureusement j'ai découvert quelque chose de plus intéressant. Je peux voyager dans les rêves des gens et les modifier à ma guise. Ce qui est fort amusant et fort intéressant, car je peux ainsi rester indispensable aux personnes. On m'apprécie plutôt dans l'hôtel, je sais me faire aimer de tous. Et puis je ne rechigne jamais à donner un coup de main pour cacher un corps. Ma vie était tranquille, j'évitais le mieux possible mon ancienne victime, n'hésitant pas à faire du chantage pour qu'elle ne révèle pas mon jeu aux autres, mais c'est tout. Cependant, une nouvelle résidente vient d'arriver, une résidente du nom de Riddel et qui est sur les traces de son arrière-arrière-grand-mère, Nymphadora Riddel. C'est-à-dire moi... Ce ne sont que des rumeurs, mais... Je ne sais trop quoi penser.
Dernière édition par Nymphadora Riddel le Dim 17 Aoû - 21:05, édité 5 fois
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Sujet: Re: N. Riddel — Si je parle avec les morts ? Bien entendu. Ven 8 Aoû - 0:56
Bienvenue Boogiegirl
Bon courage pour ta fiche & Bienvenue sur le forum!
Hâte que tu hantes mes rêves!
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Sujet: Re: N. Riddel — Si je parle avec les morts ? Bien entendu. Ven 8 Aoû - 7:56
Merciiii Ton personnage aura moins hâte une fois en rp
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Sujet: Re: N. Riddel — Si je parle avec les morts ? Bien entendu. Ven 8 Aoû - 8:22
Elle est carrément flippante Nymphadora Bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fichounette
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Sujet: Re: N. Riddel — Si je parle avec les morts ? Bien entendu. Ven 8 Aoû - 12:47
Quelle jolie jeune femme! Bienvenue à toi! Et bonne chance pour ta fiche!
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Sujet: Re: N. Riddel — Si je parle avec les morts ? Bien entendu. Sam 9 Aoû - 18:06
Je suis toujours en retard bienvenue à toi
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Sujet: Re: N. Riddel — Si je parle avec les morts ? Bien entendu. Sam 9 Aoû - 18:52
Merci à vous! ♥
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Sujet: Re: N. Riddel — Si je parle avec les morts ? Bien entendu. Sam 9 Aoû - 21:07
Bonsoir et bienvenu, très beau prénom miss ^^
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Sujet: Re: N. Riddel — Si je parle avec les morts ? Bien entendu. Sam 9 Aoû - 22:11
J'aime beaucoup le prénom. ça me fait penser à Harry Potter Bienvenue
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Sujet: Re: N. Riddel — Si je parle avec les morts ? Bien entendu. Dim 10 Aoû - 8:50
Je plaide coupable, la grande fan d'HP en moi s'est inspiré de cette oeuvre pour le prénom J'ai hésité entre Nymphadora et Giverna ^^
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Sujet: Re: N. Riddel — Si je parle avec les morts ? Bien entendu. Dim 10 Aoû - 14:46
Nymphadora c'est le prénom de Tonks non?
*Est actuellement en train de lire HP 5 *
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Sujet: Re: N. Riddel — Si je parle avec les morts ? Bien entendu. Dim 10 Aoû - 15:04
Moi aussi je suis une vraie fan d'Harry Potter. J'approuve totalement ton choix, bien que Giverna aussi aurait été pas mal Aloysus oui c'est le prénom de Tonks (même si la question n'était pas posé à moi )
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Sujet: Re: N. Riddel — Si je parle avec les morts ? Bien entendu. Dim 10 Aoû - 17:15
Huhu tu as été plus rapide Lilychou
Des fan d'HP hiii c'est trop cool **
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Sujet: Re: N. Riddel — Si je parle avec les morts ? Bien entendu. Dim 10 Aoû - 22:55
Bienvenue Nymphadora (Tonks **)
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Sujet: Re: N. Riddel — Si je parle avec les morts ? Bien entendu. Ven 15 Aoû - 2:47
Ta fiche a été postée il y a plus d'une semaine. Par conséquent, tu es désormais un membre en danger Il te reste une semaine pour terminer ta fiche. Si tu as des difficultés à écrire l'histoire de ton personnage, n'hésites pas à nous contacter.
Sinon ouais, super fan d'Harry Potter
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Sujet: Re: N. Riddel — Si je parle avec les morts ? Bien entendu. Ven 15 Aoû - 7:59
Oups désolée je m'empresse de la finir aujourd'hui ><
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Sujet: Re: N. Riddel — Si je parle avec les morts ? Bien entendu. Lun 18 Aoû - 0:15
Bienvenue au Fitegerald's Hotel
TU ES VALIDE
J'ai pris un réel plaisir à lire ta présentation Ton personnage est vraiment intéressant et c'est avec grand plaisir que je te demanderai un rp - si tu veux bien de moi
Tout d'abord, bienvenue à toi! Tu peux désormais déposer tes bagages au Troisième étage, dans la Chambre numéro 304. Nous espérons que tu t'y sentiras à l'aise - Puisqu'elle sera tienne pour l'éternité. Désormais que tu fais partie des clients de l'hôtel, n'hésites pas à venir rencontrer tes voisins ici afin de leur demander des liens. Une fois fait, n'oublies pas de passer ici pour que tes voisins puissent te demander des topics. Ensuite, pense à passer dans cette partie là afin de demander un job pour payer ta chambre pour l'éternité, si tu le souhaites, ainsi qu'ici pour rester connecter au réseau de l'hôtel.
Mais avant toute chose... Amuses-toi bien ici, et surtout, fais attention aux personnes que tu rencontres, et inspecte toujours ta chambre avant de t'endormir. Bon jeu !
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Sujet: N. Riddel — Si je parle avec les morts ? Bien entendu. 
Jeu 7 Aoû - 20:58
Ton personnage aura moins hâte une fois en rp 
J'ai hésité entre Nymphadora et Giverna ^^ 
*
)
_Viviie.
